La zone de confort, cette zone bien douillette, où nous nous sentons bien au chaud, comme en hiver lorsque, bien emmitouflés dans un plaid douillet, on regarde la neige et le vent par la fenêtre. Peut-être que dehors nous ferions de superbes rencontres, vivrions des aventures fantastiques, mais il est plus facile, plus doux de rester bien au chaud avec un bon thé et un bon livre.
Ce confort ne nous semble pas forcément fantastique, mais c’est bon, ça va comme ça. Nous avons nos routines, nos façons habituelles de fonctionner, notre train train quotidien et c’est ok.
Nous nous sentons en sécurité, car notre niveau de stress et d’anxiété est bas.
Le principe de la « zone de confort » a été découvert au début du 20ème siècle, par 2 psychologues, Robert Yerkes et John Dodson. (https://en.wikipedia.org/wiki/Yerkes%E2%80%93Dodson_law) Ces 2 chercheurs ont découvert que la performance était affectée par le niveau d’anxiété. La performance augmente jusqu’à un certain niveau d’anxiété ou de stress, puis si le stress continue à augmenter, alors le niveau de performance s’inverse et on obtient une courbe de performance en cloche. D’autres chercheurs dans les années 50 ont trouvé un schéma similaire en étudiant les liens entre la performance et la motivation.
Ce qui veut aussi dire que si nous n’atteignons pas un niveau d’anxiété optimal, nous ne donnons pas non plus le meilleur de nous même, notre meilleure performance.
D’après ces chercheurs la zone de confort pourrait être définie ainsi :
La zone de confort est un état psychologique dans lequel une personne se sent à l’aise. Dans cette zone, elle peut garder le contrôle tout en éprouvant un faible niveau de stress et d’anxiété. Dès lors, un niveau constant de performance est possible.Judith Bardwick (https://judithmbardwick.com/) définit le terme comme « l’état comportemental d’une personne qui choisit de vivre dans une position neutre d’anxiété. Brené Brown (https://www.nytimes.com/2011/02/12/your-money/12shortcuts.html) le décrit comme « l’espace où notre incertitude, le manque et la vulnérabilité sont réduits au minimum et où nous croyons que nous aurons accès à suffisamment de nourriture, d’amour, d’estime, de talent, et de temps. Où nous avons le sentiment d’avoir un certain contrôle. (source wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_de_confort )
Il s’agit de rester sous le seuil du stress qui est contre performant, à un niveau optimal.
Nous avons une tendance naturelle à vouloir rester dans notre zone de confort, ou bien à y retourner très vite lorsque nous en sortons. Il ne s’agit pas d’une bonne ou mauvaise chose. C’est simplement la façon dont nous fonctionnons et il faut en prendre conscience.
En être conscient, mais pas nécessairement s’en contenter. Un peu sur le même principe du fameux équilibre entre vie privée et vie professionnelle, si on vise l’équilibre parfait, d’une part on s’épuise et surtout, ce n’est pas du tout comme cela que nos projets peuvent avancer de façon significative. Il faut provoquer le déséquilibre, pour avancer, un peu comme à vélo.
Il en va de même avec la zone de confort, il faut accepter d’aller plus loin, de repousser ce petit confort, de repousser nos propres limites, pour apprendre de nouvelles choses, pour tenter de nouvelles expériences.
Trop au chaud dans votre confort ?
Comment savoir si vous êtes un peu trop au chaud dans votre zone de confort ? Il y a quelques signes qui peuvent vous alerter :
- Vous n’êtes pas spécialement heureux mais vous ne savez pas pourquoi.
- Tout roule, mais vous attendez plus de la vie. Votre malaise vient du fait que les choses qui vous entourent vous semblent ordinaires, banales et que vous souhaitez quelque chose de différent.
- Vous vous mettez à douter de vous-même, ce qui ne signifie pas que vous être sur une mauvaise pente. Bien au contraire. Cela veut souvent dire que c’est cette idée que vous devez poursuivre. Si cette fameuse idée qui vous trotte dans la tête était banale et sans attrait réelle, vous ne douteriez aucunement de pouvoir l’accomplir. Vous ne savez jamais de quoi vous êtes réellement capable, avant d’avoir essayé.
- Peut être que vous avez le sentiment de stagner, de ne plus vous développer et vous ne voyez aucun développement majeur dans votre futur. Vous vous ennuyez dans votre vie.
- Vous souvenez-vous de la dernière fois que vous avez essayé un truc nouveau
- Quel est le dernier challenge dans lequel vous vous êtes lancé ?
- Quand avez vous ressenti cette petite montée d’adrenaline que l’on ressent lorsqu’on se dépasse pour obtenir une chose qui nous tient à coeur ?
- Dites vous non quand on vous demande de faire quelque chose de nouveau ou de difficile ?
- Est-ce que vous êtes du genre à penser que la nouveauté est risquée, inconfortable et donc vous vous en éloignez le plus possible ?
- Peut être que vous êtes un grand procrastinateur ?
- Vous attendez pour que les conditions parfaites soient enfin réunies, si jamais cela est possible, avant d’entreprendre quoique ce soit ?
- Vous êtes un peu fataliste, vous disant que tout vient à point à qui sait attendre ?
- Et en dernier signe, vous utilisez beaucoup les mots « si » et « quand », ou bien « ne pas pouvoir ».
Nous avons déjà parlé de l’impact des mots que nous utilisons dans ce podcast. Ils ont un fort impact sur nous. Ils peuvent nous pousser à l’action ou bien nous limiter, dans tous les domaines, car les situations qui sont importantes mais qui nous demandent d’aller puiser dans nos ressources, se trouvent dans tous les domaines de notre vie, personnelle ou professionnelle.
Que ce soit de devoir intervenir devant de nombreuses personnes dans une convention, participer à des soirées de networking, s’adresser à des inconnus, essayer des choses nouvelles, toutes ces choses dans lesquelles nous ne nous sentons pas à l’aise parce qu’elles sont en dehors de notre zone de confort, mais qui sont nécessaires pour avancer, pour progresser.
Comme nous l’avons vu plus tôt, un excès de confort ne nous permet pas d’atteindre notre niveau optimal de performance. C’est quand nous nous arrangeons pour faire le minimum requis que nous ne vivons pas réellement notre vie pleinement.
Alors oui, sortir de sa zone de confort est difficile, on n’est pas du tout à notre aise.
Pourquoi est ce si difficile de sortir de sa zone de confort?
Tout d’abord parce nous nous sommes créés des petites barrières, derrière lesquelles nous cacher et éviter ainsi toute tentative de sortie de cette zone.
Busyness
Nous nous drapons dans nos emplois du temps surchargés, nous sommes trop occupés, nous avons trop de choses à faire, c’est le busyness, ( lien vers l’ essai de tim kreider « les gens sont débordés ») et donc il est absolument certain que nous n’avons pas le temps de tenter de nouvelles choses. « Je le ferai quand j’aurais du temps, quand les enfants seront grands, quand je serai en retraite etc etc. »
Procrastination active
Un autre piège que nous nous sommes nous-mêmes élaborés, c’est la procrastination. Mais une procrastination étudiée, celle où nous avons bien rempli notre to-do liste de choses à faire, mais de choses non essentielles, et absolument pas avec NOS essentiels, ceux qui feraient réellement avancer notre vie. Et donc nous nous réfugions derrière cet agenda rempli de rien, pour repousser notre participation à des événements qui comptent réellement. C’est beaucoup plus simple que de vous lancer dans des activités qui feraient réellement avancer vos objectifs profonds ! Vous vous noyez dans des tâches qui prennent du temps mais que ne font absolument rien pour avancer vos projets personnels. Et c’est votre excuse. « J’ai déjà trop à faire, je n’ai absolument pas le temps. » Et pourtant ce sont les autres choses que vous repoussez, qui feraient une vraie différence. Et en plus vous le savez au fond de vous même.
Mais être occupé, ne signifie pas du tout être efficace et encore moins être heureux.
Passez à l’action, faites le boulot, même s’il est difficile, et prenez aussi le temps d’une pause pour appréciez ce qui vous entoure.
Soyez présent dans ce que vous faites, et ne soyez pas sans arrêt en train de penser à votre prochaine action sur votre to-do list. Soyez honnête avec vous même. Est ce que vous refusez les opportunités qui s’offrent à vous parce que vous les avez réellement évaluées, qu’elles ne participent pas à votre essentiel, et donc vous n’avez pas de temps pour elles, ou bien seulement parce que vous ne souhaitez pas prendre de risque ? ( lien vers l’épisode sur Essentialisme) Faites le tour des excuses que vous vous trouvez pour ne pas sortir de votre zone de confort. Sont-elle réelles, légitimes, ou bien vous avez juste sorti votre boite à excuses ?
Le Perfectionnisme
Une autre raison qui peut vous pousser à rester au chaud, c’est que vous êtes perfectionniste. Sujet déjà largement évoqué aussi dans ce podcast. C’est un défaut qui retient beaucoup de personnes à avancer. Vouloir que tout soit parfait tout le temps. ( lien vers épisode sur le perfectionnisme) Attendre que les conditions optimales soient réunies… le genre de chose qui n’arrive qu’une fois tous les jamais. Et pour les français qui m’écoutent, fort de la fantastique méthode pédagogique dans laquelle nous avons été élevés à l’école et souvent aussi à la maison, si on ne fait pas une chose parfaite, cela ne vaut pas la peine de s’y mettre.
Il y quelques années, j’étais convoquée avec l’un de mes fils chez son proviseur pour discuter de son avenir. Le choix était de le garder dans le système scolaire généraliste ou bien de l’envoyer faire des études spécialisées et plutôt manuelles. Et le proviseur de lui dire : il n’y a aucun problème à vouloir être pâtissier ou boulanger, du moment que votre objectif est de devenir le meilleur ouvrier de France. Voilà qui est super encourageant vous ne trouvez pas ! Quelle pression pour des enfants qui sont déjà perdus ?
Et c’est vrai qu’en France on va toujours et toujours pointer du doigt LA faute, mais rarement souligner les efforts, la bonne volonté ni même souligner le fait qu’un échec n’ est pas définitif. Voilà pourquoi de nombreux entrepreneurs qui ont échoué ne re-tentent plus jamais l’aventure, car la défaite est tellement dure à digérer, tellement pointée du doigt… Cela ne nous encourage pas du tout à tenter notre chance et à sortir de notre zone de confort et cela ressemble fort à l’effet Tetris, version négative dont nous avons parlé dans l’épisode précédent ( lien vers PVY096)
Entre le perfectionnisme qui nous touche et le fait que l’on fait toujours grand cas des échecs, et sans compter le petit esprit franchouillard qui fait que les gens qui réussissent ont certainement bénéficié des meilleurs augures, de circonstances externes fantastiques voire de trucs pas clairs… vous voyez le tableau. Alors loin de nous toute volonté de sortir de notre zone de confort. Si moi je ne veux pas en sortir, pourquoi est-ce que je n’essaierai pas de pourrir la vie de ceux qui relèvent la tête et tentent de faire de leur vie, une vie intéressante, loin des sentiers battus ? Mais je m’égare…
En tout cas, notre futur n’est pas défini par notre passé, nous avons le pouvoir entre nos propres mains pour changer le cours de notre futur et de travailler à mieux pour notre Futur Nous.( lien vers épisode « Investissez dans votre futur Vous)
En plus, la bonne nouvelle, c’est que sortir de sa zone de confort est très rarement mortelle. Vos chances de survie sont de 100 %. ( sauf si vous prévoyez de traverser une vallée sur un filin)
Ne laissez pas vos peurs, vos petites voix ou votre singe avoir raison de vos plus belles performances.
Il y a deux ans, lorsque j’ai rejoint l’entreprise dans laquelle je suis aujourd’hui, j’ai assisté au grand séminaire des cadres. Un homme est intervenu, un grand gaillard, qui m’avait semblé plutôt sûr de lui lorsque je l’avais croisé avant les discours. Et là il était tremblant, hésitant, le souffle atrocement court et clairement tout le monde retenait sa respiration en l’écoutant. Etant nouvelle je ne comprenais pas la situation. A la fin de sa laborieuse intervention, il a eu le droit à un tonnerre d’applaudissements et aux félicitations du CEO. Il se trouve que cette personne avait une peur panique de s’exprimer en publique et donc à fortiori en face de plusieurs centaines de personnes. Mais il a travaillé avec un coach et c’était donc sa première intervention devant une grande salle. Tout le monde était au courant du challenge et tout le monde était avec lui. L’année suivante, il a fait une présentation, et il était cette fois beaucoup plus à l’aise, et est ressorti de là très fier d’avoir repoussé ses propres barrières.
A contrario, je discutais très récemment avec un jeune collègue d’une intervention que j’avais à préparer pour le séminaire de cette année. Il m’a dit que jamais il ne ferait cela, ce n’était pas son truc. Il pouvait parler devant 10 personnes mais c’est tout et il est hors de question pour lui d’aller au delà. Deux approches totalement différentes. Mais là encore, deux conséquences différentes. Dans un environnement professionnel où il est important de savoir présenter son travail devant de grandes assemblées, l’un a compris l’importance que cela avait sur sa carrière et sur la promotion du travail de ses équipes, quand l’autre ne pense qu’à la peine immédiate, et pas du tout à l’impact potentiel sur sa propre carrière, mais aussi sur son équipe, dont le travail ne sera jamais promu à un échelon supérieur.
Les petits pas
Commencez par faire de petits pas vers vos objectifs. La plus grande erreur serait de ne rien faire car vous pensez que vous ne pourrez que faire un peu. Or, c’est en faisant un petit pas que l’on commence. Lorsque bébé vous avez fait votre tout premier pas, vous ne vous êtes pas dit « non je n’y vais pas, je ne suis pas encore en mesure de marcher 50 km ! »
Commencez par prendre de petits risques dans un environnement contrôlé. Rappelez vous de l’analogie avec le « cercle de Zorro », dont Shawn Achor parle dans « Comment devenir un optimiste contagieux ». Prendre de l’assurance dans un petit contexte connu et maitrisé, puis élargir peu à peu le cercle pour accomplir de grandes choses, en s’appuyant sur la confiance progressivement développée et acquise.
C’est de cette façon que vous allez gagner une certaine habitude à vous pousser hors de vos limites, vous préparant ainsi aux changements qui surviennent sans cesse dans la vie. Le but n’étant pas de vivre dans un état de stress tellement intense qu’il devient contre-productif, mais plutôt juste au niveau qui vous permettra d’atteindre vos meilleurs résultats.
La peur du regard des autres
Autre motif pour rester au chaud, la peur du regard et des commentaires des autres. Les gens vont certainement vous juger. Quoique que vous fassiez, quelqu’un vous jugera et il vous faut donc l’accepter et arrêter de baser votre vie et vos actions sur cette peur. Le jugement que porte les gens est souvent basé sur leurs propres expériences, leurs émotions, leur propre vie et ils n’ont rien à faire de vous. Cela vous place donc à la merci de leurs perspectives biaisées et peu fiables. Mais il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Vous devez trouver votre valeur en vous même et en personne d’autre.
Arrêtez de faire des choses pour impressionner votre entourage, juste pour cette petite gloire passagère et sans aucune importance. A la place, concentrez vous sur ce qui vous rend réellement fier et faites des progrès dans ce domaine. Prouvez vous à vous que vous pouvez progresser et vous améliorer. Et ce n’est pas grave si vous faites un faux pas, cela fait partie du process d’apprentissage.
Lors d’un podcast de fin d’année sur la fixation des objectifs, nous avons évoqué les peurs et les idées qu’on se met seul en tête. L’une d’elle est de croire que nous n’avons pas assez de ressources ou de pouvoir pour faire ce que nous voulons faire. Ce principe s’applique aussi au fait de sortir de sa zone de confort. Et c’est le prix à payer pour construire soi-même sa vie, avec intention et avec la satisfaction de choisir son propre chemin et de mettre tout en oeuvre pour y parvenir. Ce chemin va naturellement vous conduire en dehors de votre zone de confort.
En sortant de votre zone de confort, vous vous rendrez compte que vous y serez plus heureux que dans votre confort habituel, contrairement à ce que vous pensiez au départ. Mais cela demande de savoir surmonter les peurs et doutes et surtout de s’y préparer. Car la peur elle sera là, à un moment ou un autre. Mais si vous le savez et que vous vous préparer à ce qu’elle apparaisse, alors vous pourrez anticiper cette peur et surtout mettre en place des stratégies pour qu’elle ne vous terrasse pas.
Les bonnes âmes de votre entourage
Dans votre aventure sur le chemin de l’inconfort, vous allez aussi faire face aux commentaires ou conseils de personnes de votre entourage, qui vous veulent pour la plupart du bien et vous souhaitent le meilleur dans la vie. Cependant, ces conseils et remarques ne seront que le reflet de leur propre subjectivité, de leurs expériences et de leurs propres peurs. Certains tenteront de vous décourager à partir à l’aventure, quelqu’elle soit, en justifiant leurs conseils par la volonté de vous épargner des problèmes. Mais peut être ont ils seulement peur que si votre vie change « trop », il n’y ait plus de place pour eux ?
Ou bien, vos projets mettent à jour leur absence de courage, ou de force pour faire de même et prendre leur vie en main. On vous prendra peut être même pour un fou. Imaginez cette personne, cadre dans une grande entreprise et qui décide de monter sa petite entreprise. Mais quelle mouche l’a piquée, que de vouloir tout foutre en l’air alors qu’il est tellement plus facile de jouer avec la politique interne et d’attendre que le chèque tombe tous les mois ? Vous aurez donc à ramer contre le courant. Mais au bout du compte, vous obtiendrez ce pour quoi vous avez dépensé votre énergie, vous aurez repoussé vos propres limites et la fierté que vous en tirerez n’a pas de prix.
Rappelez vous que tout est une affaire de choix, mais que ces choix peuvent être cumulables. Vous pouvez choisir d’être mère de famille et de créer votre entreprise, d’avoir une carrière. Ce n’est pas soit l’un soit l’autre.
Parfois il faut juste se lancer et arrêter de se poser trop de questions, de passer son temps à douter de tout et surtout de soi même.
Sortir de sa zone de confort ne se fait pas en faisant un truc énorme et en prenant des risques inconsidérés. Comme évoqué plus tôt, cela se fait petit à petit, en changeant des habitudes que l’on a depuis longtemps.
Créer des challenges personnels
Créez vous de petits challenges, rien que pour vous même, et vous n’avez pas besoin d’en faire la promotion autour de vous. Juste un challenge entre vous et vous. Si vous êtes terriblement timide, essayez d’engager la conversation à la machine à café avec vos collègues au lieu d’attendre que ce soit eux qui fassent le premier pas. Puis augmentez la difficulté, en parlant à un nouveau, ou bien à un visiteur … Les exemples sont multiples et vous seul savez dans quel domaine vous souhaitez pousser vos limites. Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment pour commencer. Juste commencez, aujourd’hui, maintenant, là, tout de suite. Soyez persévérant, patient, et entièrement dédié à ce challenge que vous vous fixez. Sachez répondre à cette question : pourquoi est ce que je le fais ?
Rappelez vous que la peur tue plus de rêves que l’échec.
Si vous vous accrochez à votre pourquoi, comme pour tout objectif, c’est là que vous puiserez les ressources nécessaire dans les moments difficiles, dans les périodes de doutes et d’incertitude. Mais continuez d’avancer, à petits voire touts petits pas s’il le faut, mais ne vous arrêtez pas. Ce sont les petits victoires au quotidien qui vous feront gagner la bataille ! Encore une fois, sortir de votre zone de confort doit vous procurer une dose anxiété qui vous permet d’être meilleur et plus performant. Il faut donc savoir doser les pas à accomplir pour ne pas vous retrouver avec une anxiété telle que cela vous paralyserait complètement. Soyez raisonnable et si besoin, revoyez votre rythme de progression pour ne pas vous faire trop peur !
Et vous, quels sont les domaines dans lesquels vous aimeriez sortir de votre zone de confort ? n’hésitez pas à commenter cet article, sur le blog, sur la page Facebook ou sur Youtube.