Comment bien démarrer dans un nouveau poste

Ca y est, vous allez commencer votre nouveau job dans quelques jours et vous êtes ultra motivé(e).Vous vous sentez probablement enthousiasmé(e) par les nouveaux défis à relever. Cependant, l’anxiété et le sentiment d’être submergé par de nouvelles responsabilités peuvent surgir. Après tout, c’est un nouveau challenge. Par ailleurs si vous rejoignez une nouvelle entreprise la pression est d’autant plus forte.


C’est pourquoi on parle souvent de la période des 90 jours quand on démarre un nouveau poste que ce soit suite à une promotion interne ou bien quand on arrive dans une nouvelle entreprise.

C’est donc ce que nous allons voir aujourd’hui, quelques points importants pour bien démarrer votre prise de fonction.

Pourquoi est ce important de bien commencer ?

L’auteur du livre “90 jours pour réussir sa prise de poste, Michael Watkins dit dans une interview :

“ Il y a de nombreuses raisons, mais la plus importante est que les gens se font très tôt des impressions sur vous, et une fois ces impressions formées, elles ont tendance à rester collantes, et votre capacité à commencer, à apprendre rapidement, à établir des relations est essentielle. Rapidement, bâtissez votre crédibilité personnelle, commencez à prendre un certain élan. Si vous n’êtes pas en mesure de le faire pendant la période de transition, (et nous parlerons un peu dans une minute de la période de 90 jours,) alors vous perdez une fenêtre d’opportunité.

Des impressions peuvent se former contre vous de manière importante, ce qui peut rendre les choses très difficiles, car il existe de nombreuses bonnes recherches en psychologie sociale sur des choses connues sous le nom de « biais de confirmation » qui disent essentiellement qu’une fois que les gens ont pris leur décision – et ils vont le faire – ils ont tendance à collecter des informations qui confirment leurs convictions et à écarter les informations qui ne les confortent pas, et vous ne voulez donc tout simplement pas être du mauvais côté. Quatre-vingt-dix jours, je l’ai toujours considéré comme un cadre de planification plutôt que comme une durée de transition. Votre transition peut prendre plus de temps ou moins, peu importe ce que je veux que les gens réfléchissent sérieusement à la meilleure façon d’utiliser cette première période critique de 90 jours.

https://www.mindtools.com/aefslj5/the-first-90-days?from=shared-link

Votre seuil de rentabilité

Lorsque vous obtenez une promotion ou rejoignez une nouvelle entreprise, il est important de prouver votre valeur. Votre objectif est d’atteindre rapidement le point où vous apportez plus de valeur à l’organisation que ce que vous “consommez” (seuil de “rentabilité”). Selon Michael Watkins, cela prend en moyenne six mois à un dirigeant de niveau intermédiaire pour atteindre ce seuil de rentabilité, selon les estimations de plus de 200 PDG et présidents de diverses entreprises. Cependant, cela peut être plus rapide si vous êtes dans une situation difficile et peut prendre plus d’un an si vous rejoignez une entreprise déjà performante et prospère.

Les pièges à éviter dans un Nouveau Rôle

Naviguer dans un nouveau rôle peut être un défi. Éviter ces 7 pièges communs est crucial pour une transition réussie.

1. Répéter le Passé

Il est tentant d’utiliser des méthodes que vous avez déjà utilisées et qui ont fonctionné ailleurs ou de vouloir faire des copier/coller, mais chaque environnement est unique. Solution : Soyez ouvert à l’innovation et adaptez-vous à votre nouvel environnement.

2. Tout Savoir

Vous ne devez pas imposer vos anciennes méthodes. Solution : Écoutez et collaborez avec votre équipe pour des solutions adaptées.

3. Agir avec précipitation

Agir précipitamment peut sembler efficace, mais c’est risqué. Solution : Prenez le temps de comprendre avant d’agir.

4. Être Irréaliste sur vos objectifs

Des objectifs irréalistes mènent à l’échec, même s’ils ont été fixés par une direction impatiente. Solution : Fixez des objectifs réalisables pour inspirer et motiver.

5. Partir dans tous les sens

Lancer trop d’initiatives simultanément conduit à l’échec. Solution : Établissez des priorités et abordez les problèmes étape par étape.

6. Apprendre uniquement la technique

Il est essentiel de comprendre la culture, la politique et les relations et pas uniquement de vous focaliser sur des aspects techniques. Solution : Concentrez vous sur les relations et la culture d’entreprise pour un impact durable.

7. Ne Développer que des relations verticales

Il est important de développer les nouvelles relations dans toutes les directions et pas seulement avec votre management et vos collaborateurs. Solution : Identifiez toutes les parties prenantes et ne sous-estimez pas leur influence sur votre réussite, y compris vos collègues, pairs, fournisseurs, clients etc..Vous pourrez ainsi créer des alliances nécessaires à votre succès dans le job.

Points clés

  • Adapter les stratégies passées à de nouveaux contextes
  • Écouter et collaborer pour trouver des solutions
  • Agir de manière réfléchie et informée
  • Fixer des objectifs réalistes et réalisables
  • Prioriser les tâches pour une efficacité maximale
  • Se concentrer sur les relations et la culture de l’entreprise

Sept actions clés pour bien démarrer dans votre nouveau poste :

  1. Évaluer les objectifs de votre organisation. Regardez les énoncés de mission et de vision, s’ils existent. Sont-ils alignés avec l’essence de votre entreprise ? Motivent-ils vos collaborateurs et captivent-ils vos clients ?
  2. Anticiper les obstacles. Réalisez une analyse des risques pour évaluer les rôles et processus clés. Sont-ils toujours efficaces ? Des changements sont-ils nécessaires ? Cette approche préventive permet d’éviter les surprises et de saisir les opportunités.
  3. Identifier les décideurs clés. Une analyse des parties prenantes révèle qui détient le pouvoir réel. Qu’est-ce qui les motive ?
  4. Établir des connexions significatives. Rencontrez ces personnes avant votre premier jour. Quels sont leurs défis et leurs réussites ? Planifiez des rencontres régulières avec des collègues de différents départements. Cela permet de collecter des retours continus sur les processus, les charges de travail et les attentes des clients.
  5. Examiner la santé globale de l’organisation. Évaluez les processus, les personnes, les valeurs et la culture. Comment tout cela s’imbrique-t-il ? Existe-t-il des départements où le turnover du personnel ou les maladies sont élevés ? Quelle pourrait-être la cause? Il y a peut-être un manque de gestion ou une source de conflit qui doit être résolue.
  6. Vérifier la solidité des informations. Les comptes financiers sont-ils à jour ? Les objectifs sont-ils appropriés et motivants ?
  7. Revoir vos découvertes. Identifiez les équipes surchargées et les résultats trop beaux pour être vrais.

Les revues hebdomadaires

En tant que leader, votre rôle est continu. Prévoyez du temps pour rechercher les problèmes, trouver des solutions et chercher de nouvelles opportunités. Et pendant cette période initiale il est vraiment essentiel que vous questionniez toujours et que vous fassiez toutes les semaines des revues de vos apprentissages (aussi appelé rétrospective).

Au fur et à mesure de votre intégration, surtout si vous arrivez dans une nouvelle entreprise, vous pourriez aussi élaborer un rapport d’étonnement. C’est parfois demandé dans les entreprises qui ont compris l’importance des feedbacks sur l’organisation que peut apporter un oeil neuf. Si on ne vous le demande pas, c’est peut être que l’entreprise n’est pas consciente de l’atout que cela représente ou bien qu’elle n’est pas prête à la remise en cause. Pourquoi ne pas demander, lors de vos entretiens de recrutement ?




Questions de réflexion pour définir vos actions :

  • Comment pourriez-vous actualiser l’énoncé de mission pour motiver vos employés ?
  • Quelles questions poser aux parties prenantes pour comprendre les forces et faiblesses de l’entreprise ?
  • Comment évaluer objectivement ces informations ?
  • Quels systèmes et processus nécessitent une attention particulière ?

Puis vous allez passer à la création de votre plan d’actions pour les 3 prochains mois. Vous trouverez ci-dessous une trame de ce qu’il pourrait contenir, de façon général et vous devez le personnaliser avec des éléments spécifiques à votre poste, votre entreprise, en bref votre contexte.

Le Plan de 30-60-90 jours pour un nouveau rôle :

30 premiers jours :

  • Apprendre les bases : comprendre la mission, les valeurs et la culture.
  • Établir des relations : connaître vos collègues et établir des liens.
  • Comprendre les attentes : clarifier les objectifs avec votre responsable.
  • Évaluer les processus : identifier les améliorations potentielles.

Jours 31-60 :

  • S’impliquer dans les projets : prendre en charge des initiatives clés.
  • Développer votre réseau : établir des contacts au sein et en dehors de l’organisation.
  • Rechercher des retours : ajuster votre approche en fonction des commentaires.
  • Contribuer aux objectifs de l’équipe : collaborer pour réussir ensemble.

Jours 61-90 :

  • Prendre plus de responsabilités : démontrer votre capacité à diriger.
  • Apprentissage continu : chercher des formations pour améliorer vos compétences.
  • Évaluer les progrès : fixer de nouveaux objectifs avec votre responsable.
  • Entretenir des relations : maintenir des échanges réguliers et constructifs.

Restez flexible et adaptez-vous aux besoins spécifiques de votre rôle et de l’organisation.

Pour vous aider à traverser cette période de 90 jours, j’ai créé un support détaillé qui reprend une partie de ce que nous venons de voir, ainsi qu’un plan détaillé pour les 30-60 et 90 jours. De plus, j’ai aussi créé un board MIRO, qui vous permettra de réfléchir à cette phase et à construire votre plan de façon visuel. Vous trouverez ici le lien pour obtenir le document et l’accès au board MIRO ( copier le board dans votre espace personnel pour pouvoir l’utiliser). Le board vous permet de partir de votre vision de votre rôle et de ce que vous souhaitez faire et de poser visuellement les étapes, les interlocuteurs, les projets etc ….

Bonne Intégration dans votre nouveau poste !

Atteignez vos objectifs avec l’année de 12 semaines.

Oui, vous atteindrez vos objectifs en appliquant la méthode de l’année de 12 semaines. C’est la promesse que font les auteurs de la méthode Brian Moran et Mickael Lennington. Je choisis ce début d’année pour une étite révision et aussi une explication avec des cas pratiques. Pour plus de détail, je vous encourage à relire ou bien réécouter l’épisode 89.

Pour les auteurs de la méthode, la clé de la réussite réside dans l’exécution efficace des plans, plutôt que dans la simple connaissance ou planification. Ils mettent en lumière que les échecs ne sont généralement pas dus à un manque de connaissances, mais à une mauvaise mise en œuvre des plans. L’accent est mis sur l’importance d’exécuter des actions concrètes et de maintenir un sentiment d’urgence.


Approche trimestrielle

La méthode consiste à abandonner la pensée annuelle au profit d’une approche trimestrielle. L’idée derrière cela est que plus un objectif est lointain, moins on est motivé pour le poursuivre. Cette situation se produit souvent à la fin de l’année, tant dans les entreprises que sur le plan personnel. Pour éviter cela, la méthode propose de se concentrer sur des trimestres de 13 semaines, avec des objectifs précis pour chaque période.

Cette approche maintient la motivation grâce à des échéances plus proches et un sentiment d’urgence constant. Elle s’inspire de la périodisation sportive, où les athlètes se concentrent sur un domaine spécifique pendant un certain temps pour améliorer leur performance. De même, les objectifs annuels se décomposent en étapes trimestrielles, puis en actions hebdomadaires et quotidiennes, ce qui permet de rester concentré tout au long de l’année.

La méthode

Le processus commence par la définition d’une vision motivante, profondément connectée à nos émotions et à notre pourquoi.

Ensuite, on crée un plan pour atteindre cette vision, mais au lieu de le planifier sur 12 mois, on le divise en 12 semaines. Cette approche réduit le risque d’incertitude face à l’avenir et permet de définir des actions concrètes avec plus de certitude, en évitant la surplanification qui peut entraîner la procrastination. En somme, l’important est de créer une vision et de la planifier sur un horizon de 12 semaines pour plus d’efficacité.

Prévoir le contrôle de la réalisation

Dans cette phase, l’accent est mis sur le contrôle et la mesure des progrès. Tout d’abord, des indicateurs sont mis en place et surveillés chaque semaine. Les auteurs insistent sur l’importance de suivre ces indicateurs, qu’ils soient positifs ou négatifs. Trop souvent, les gens arrêtent de mesurer leurs indicateurs lorsque les résultats sont mauvais, ce qui est une erreur. La méthode encourage à faire face à la réalité des chiffres.

L’idée est que ignorer les mauvais résultats ne les améliorera pas. Au contraire, il faut ajuster ses efforts et, si nécessaire, la méthode pour atteindre les objectifs. Les auteurs soulignent que la principale cause d’échec réside dans le non-respect du plan plutôt que dans le plan lui-même. Par exemple, si l’objectif est d’augmenter la clientèle de X % et que vous connaissez votre taux de conversion, vous pouvez calculer combien de prospects vous devez contacter chaque jour pour atteindre cet objectif. Si vous n’en contactez que la moitié, le plan n’est pas mauvais, mais votre exécution l’est.

Pour suivre les indicateurs efficacement, il faut en créer deux types : ceux qui mesurent le résultat final (comme le poids perdu, le chiffre d’affaires généré, ou le montant d’une commission) et ceux qui mesurent l’effort (comme le nombre de calories consommées par jour, le nombre d’entraînements sportifs, le nombre d’appels à de nouveaux clients, le nombre de visites de prospects, etc.).

Ces indicateurs sont utilisés pour créer un tableau de bord hebdomadaire, qui ne doit pas être trop complexe ni prendre beaucoup de temps à remplir et à analyser. L’objectif n’est pas de sanctionner, mais plutôt de reconnaître le niveau de performance et d’ajuster en conséquence.

Gérer son temps sagement

La technique du time-blocking est présentée comme une étape suivante. Elle consiste à planifier son temps de manière stratégique pour avoir le temps de mettre en pratique son plan. Trois types de blocs sont définis :

  1. Le bloc stratégique, qui dure 3 heures et se fait une fois par semaine. Il est dédié à la concentration sur les tâches les plus importantes qui auront un fort impact sur votre entreprise ou vos projets.
  2. Les blocs “tampons”, d’une durée maximale d’une heure, à réaliser une ou deux fois par jour. Ils sont réservés aux tâches de moindre valeur, telles que la gestion des e-mails.
  3. Le bloc de pause, recommandé pour une durée de 3 heures consécutives chaque semaine, permettant de se vider l’esprit.

Cette approche du time-blocking vise à maximiser l’efficacité en allouant le temps de manière judicieuse pour les tâches importantes, les tâches moins importantes et les pauses nécessaires.

La redevabilité

Cette étape se concentre sur la responsabilisation et l’engagement. Elle recommande l’utilisation de mesures d’accompagnement telles que l’accountabilité, avec des réunions hebdomadaires de 30 minutes entre les membres d’une équipe pour passer en revue leur plan hebdomadaire et leurs résultats.

L’engagement est indispensable

L’importance de la motivation réelle et de l’engagement des membres de l’équipe est soulignée, car cela est essentiel pour faire progresser les projets au sein de l’équipe de travail. En outre, le multitâche est déconseillé, mettant en avant l’importance de l’engagement personnel dans la réalisation des objectifs.

Viser l’excellence

Les auteurs soulignent l’importance de la progression continue dans un domaine. Ils expliquent que l’excellence dans un domaine ne survient pas soudainement avec un seul résultat, mais plutôt par un processus d’entraînement constant sur de longues périodes. Cela s’apparente à la manière dont les athlètes ne deviennent pas soudainement bons le jour où ils remportent une médaille, mais ils remportent la médaille parce qu’ils sont bons, ce qui résulte de mois voire d’années d’efforts constants.

Le déséquilibre Intentionnel

Enfin, la méthode met en avant le concept du “déséquilibre intentionnel”. Cela signifie qu’atteindre l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle se fait en étant intentionnel dans la manière dont on dépense son temps, son énergie et ses efforts. Il s’agit de se concentrer sur des sujets prioritaires à des moments donnés, plutôt que de répartir également son attention sur tout, en fonction des priorités du moment.

Pour la mise en place de la méthode, il faut un temps de réflexion, pour définir la vision que l’on a de sa vie, son entreprise etc. Et on va chercher assez loin. Qu’est ce que je veux être dans 10 ans par exemple ?

Sur la base de cette vision lointaine, on va créer des étapes intermédiaires. Dans 5 ans, dans 3 ans, dans un an.

Une fois que l’on a obtenu notre objectif à 1 an ( je dis 1 objectif, mais il s’agit en fait d’un ensemble d’objectifs), on va découper cet objectif par trimestre soit 12 semaines.

Si vous faites votre calcul, 12 * 4 cela fait 48 semaines. Un trimestre compte 13 semaines. La 13ème semaine est consacrée au bilan et à la pose des objectifs et à la création du plan d’action pour la période suivante.

Pour la création du plan trimestriel, on va se concentrer sur 2 voire 3 (grand maximum) objectifs. Et pour ces objectifs on va lister les actions qui vont nous mener à l’atteinte du résultat escompté.

Le résultat fera l’objet d’un indicateur : un indicateur de résultat pour lequel on calculera le % d’atteinte toutes les semaines. Ce peut être un chiffre d’affaires, un nombre de contrats signés, un poids, un nombre de kilomètres courus etc.

Les actions quand à elles doivent être clairement définies et quantifiées.

Exemple 1 :

Si je veux atteindre à CA de 10k€ sur le trimestre, avec un panier moyen de 2000 € et que je sais que j’ai un taux de conversion de 1,5 % sur mon process prospection à signature, cela veut dire que je dois avoir 333 contacts de prospection.

Ce sera mon indicateur d’efforts : le nombre de contacts de prospects. De là je vais établir mon plan hebdomadaire :

  • combien de personnes je dois contacter chaque semaine,
  • prévoir les jours et moments de prospections et
  • enregistrer tout ce que je fais pour m’assurer que je vais bien contacter 333 personnes / entreprises chaque trimestre.

Dans mon plan hebdomadaire apparaitra donc l’action : prospection avec une cible hebdomadaire. De la même façon je vais aussi enregistrer les réponses aux demandes de mes prospects, et le CA potentiel.

Et tout cela je vais le revoir toutes les semaines. Je tiendrai compte dans mon planning d’actions, des jours de congés sur la période, des événements déjà prévus comme des formations, jours de séminaires, jours fériés et autres actions sur mon objectif pour me fixer des objectifs ambitieux mais atteignables et surtout pour diviser l’objectifs par le bon nombre de jours.

Et je fais cela pour toutes les actions ou tactiques que j’ai définies. Je m’assure que cela tient bien dans mon agenda compte tenu des autres activités et contraintes existantes. Toutes les actions doivent être vues dans leur ensemble pour créer un plan atteignable. C’est aussi pour cela que nous allons nous concentrer sur 2 à 3 objectifs pour les travailler à fond.

On prendre aussi en compte la saisonnalité globale de son activité. Si vos clients sont fermés en août pendant 3 semaines et 2 semaines à Noel, vous savez que ce n’est pas là que vous pourrez agir. Donc pensez à lister les contraintes de ce type avant de vous lancer dans le détail.

Exemple 2 :

Si je prends un exemple de la vie quotidienne. Je me fixe comme objectif de perdre du poids.

Une des tactiques est de marcher régulièrement et je me fixe un objectif d’un nombre de kilomètres à faire parce que je me suis inscrite au Conqueror Virtual Challenge “Length of the UK”. Je reçois donc une mission pour couvrir un peu plus de 1700 km sur la durée que je souhaite. Je me fixe 15 mois pour y arriver. (par ce lien vous obtenez 10 % de réduction et je cumule des points pour obtenir un accès gratuit à un autre challenge)

Je liste mes contraintes :

Le lundi je donne des cours toute la journée jusqu’au soir, donc pas de sortie marche.

Le mardi je suis également en cours jusqu’à 13:00, j’ai de la route, et je dois ensuite travailler sur mon activité donc je vais considérer que je ne peux pas marcher ce jour-là non plus.

Je vais considérer les saisons, et les heures de jour car je ne suis pas adepte de la marche en campagne à la frontale.

Pour le premier trimestre, sachant que c’est l’hiver et que dans ma région il pleut beaucoup et que les chemins de promenade sont souvent de grosses marres boueuses en hiver, je me dis que je vais parcourir 250 km pour T1 soir 21 km par semaine. Vient ensuite le plan d’actions hebdomadaire.

Compte tendu de mes contraintes, il me reste 5 jours du mercredi au dimanche pour parcourir les 21 km du challenge. Je vais donc prévoir dans mon planning ET dans mon agenda 3 marches de 3 km du mercredi au vendredi sur la pause déjeuner ( les jours sont encore courts je préfère ne rien mettre le matin ni le soir) et 2 marches de 6 km sur les jours du week end.

Pour le prochain trimestre, je serai plus ambitieuse en terme de km, car les jours seront plus longs et la météo certainement plus clémente. Et je pourrais m’organiser pour marcher le matin tôt ou bien le soir après le bureau. Et au-delà des idées, je vais coucher mon plan sur le papier pour bien prendre la mesure de ce qui est à faire.

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Ensuite chaque sortie sera enregistrée, le challenge vient avec une application de suivi qui se connecte avec mon application santé et donc je n’ai pas de suivi manuel à faire, qui serait dans mon cas un obstacles car je sais que je ne suis pas très douée à l’enregistrement quotidien d’informations, surtout pour les activités non professionnelles.

Pour le suivi des actions professionnelles, je dispose d’un fichier excel avec quelques petites formules un peu complexe qui me permet de mettre mes objectifs, mon plan hebdomadaire etc.

La revue régulière

La revue hebdo me permettra d’ajuster les actions des semaines suivantes. En fin de trimestre les résultats me permettront de voir ce qui est à modifier et de faire le nouveau plan compte tenu des contraintes et possibilités du nouveau trimestre.

C’est exactement le même fonctionnement que ce soit pour des objectifs professionnels ou personnels.

Idéalement, je ferai une revue de mes objectifs avec quelqu’un pour actionner la partie redevabilité de la méthode. Pour la partie Challenge de marche, il y a un groupe d’utilisateurs qui permets de recevoir du soutien et de partager les réalisations. Je peux même rejoindre ou créer un groupe. Si cela vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter je serai ravie de créer un groupe Productiv’You. Et en parlant de groupe, savez-vous qu’il existe maintenant une chaine Whatsapp ? voici le lien pour vous y abonner : Productiv’You

Pour le travail, j’ai aussi une partenaire avec laquelle je revois régulièrement mes objectifs.

Voilà rapidement la revue de la méthode de l’année de 12 semaines.

Le focus est mis sur la régularité des actions. Les auteurs de la méthode qui organisent tous les ans des ateliers sur le sujet, auxquels je participe, indiquent avec assurance que si vous êtes constants dans vos actions à hauteur de 80 % de réalisation toutes les semaines, vous atteindrez vos objectifs. ( avec les bonnes actions pour les résultats attendus évidemment). C’est pour cela que je vous encourage à mettre en oeuvre cette méthode et à constater par vous-même les résultats produits.

J’accompagne des entreprises et indépendants dans la mise en place de ces objectifs et assure même dans certains cas la tenue des revues hebdomadaires, appelées WAM. Alors n’hésitez pas à me contacter si cela peut vous intéresser. Il y a un lien dans les notes du podcast pour prendre un RDV sans engagement avec moi.

Planification et action 2024 : Faites Peu mais faites-le !

faites peu mais faites-le

Faites peu mais faites-le, ce n’est pas commun comme suggestion !

A quelques jours de 2024, je vous propose aujourd’hui un petit rappel sur l’intérêt de faire un bilan de son année et aussi de poser des intentions, pour ensuite planifier son année suivante et passer à l’action.


Pourquoi faire un bilan :

Il y a plusieurs raisons essentielles qui peuvent vous poussez à faire un bilan de votre année.

Voici quelques idées pertinentes :

  1. Réflexion et Auto-Évaluation : Le bilan aide à évaluer les succès, les échecs et les apprentissages au cours de la période qui vient de s’écouler. Cette phase nécessite de collecter des éléments tangibles, des ” preuves” des résultats de ce qui a été accompli à titre personnel et professionnel. Si vous tenez un journal de réalisations ou bien que vous avez comme habitude de faire un bilan hebdomadaire, cette phase sera facile et rapide à faire, car vous pourrez reprendre vos bilans passés. Sinon ce sera un peu plus long.
  2. Fixation d’Objectifs Réaliste : Vous allez reprendre les objectifs que vous aviez posés en début d’année et les comparer aux résultats obtenus. Ainsi, vous aurez une image claire de ce qui a été fait en accord avec les objectifs et ce qui a été moins bien, ou bien mieux. Cet exercice vous permettra alors d’ajuster vos objectifs pour 2024, et d’être plus dans une zone ” Réaliste mais Challengeant”.
  3. Amélioration Continue : Le bilan annuel permet d’identifier les domaines nécessitant une amélioration et de planifier des stratégies concrètes pour y parvenir. Particulièrement important dans le milieu professionnel, mais pas que, viser l’amélioration est un moteur de progrès. Le but n’étant pas le ” toujours plus haut et toujours plus fort”. Mais plutôt de viser à réduire ce qui n’est pas essentiel, se recentrer sur ce qui compte réellement et des moyens d’améliorer ou de faciliter l’atteinte de vos objectifs pro et perso.
  4. Harmonie Vie Professionnelle / Vie Personnelle : La période d’introspection nécessaire pour établir le bilan, vous amènera peut être à vous poser des questions profondes, sur votre rapport au travail, vos priorités, vos rapports familiaux et amicaux. Le cas échéant cela pourra vous aider à identifier si vous vous sentez en harmonie dans la répartition du temps que vous accordez à chaque domaine de votre vie et si ce n’est pas le cas, à prendre des mesures pour y remédier.
  5. Apprentissage à partir des Échecs : Vous aurez l’occasion de réfléchir aux échecs que vous avez pu rencontrer cette année et d’en tirer des leçons pour éviter de répéter les mêmes erreurs. Voir un échec comme une source d’apprentissage vous permettra par ailleurs de passer dessus plus facilement.
  6. Reconnaissance et Célébration des Succès : Maintes fois souligné dans ce podcast, reconnaître et célébrer les succès est important dans une vie efficace et productive. Cela peut améliorer la motivation et la confiance en soi, tant pour vous, votre famille que pour les équipes.
  7. Alignement avec la Vision à Long Terme : de plus, lorsque vous faites votre bilan, vous êtes amené à réviser votre vision à long terme. Et en reprenant cette vision de vous à 5 ou 10 ans, vous pourrez vous assurer que les actions et les objectifs sont alignés avec ce que vous souhaitez atteindre et devenir, aussi bien au niveau individuel que professionnel.
  8. Développement de la Résilience : Cette période de réflexion sera aussi un bon moyen de constater le chemin parcouru, de vous rendre compte des défis et des changements inévitables auxquels vous avez eu à faire face pendant l’année. Cela vous permettra de progresser sur le chemin de la résilience.
  9. Planification Stratégique : Pour les managers, le bilan de l’année est crucial pour la planification stratégique. Il vous aidera à aligner les objectifs de votre équipe avec ceux de l’organisation, assurant ainsi une meilleure coordination et efficacité. Mais cela fonctionne très bien aussi pour votre planification personnelle, notamment en fonction de votre vision de vous et de votre futur vous.

Voici donc quelques éléments pour vous convaincre de passer par la case bilan en cette fin d’année et avant de vous lancer dans les objectifs de 2024.

Mais tout cela ne pourra être efficace si vous n’avez pas une base de référence pour vous permettre de faire votre bilan. Et j’entends par base de référence, vos attentes concernant cette année. Il vous sera difficile d’évaluer si cette année vous avez atteint vos objectifs, si c’était une ” bonne” année, si vous n’avez pas clairement défini et écrit vos attentes, vos objectifs selon un modèle SMART.ERS

Pour vous aider dans cette démarche, je vous propose ci-dessous un récapitulatif de tous les articles et podcasts que j’ai fait au cours des 9 dernières années sur le sujet. A vous de piocher les précieuses informations qui vous permettront d’avancer sur le sujet et de créer une vision, des objectifs et une vie intentionnelle.

Rappelez-vous que pour vos objectifs, il ne faut pas être trop ambitieux en termes d’objectifs. Mieux vaut en ajouter car vous êtes allés plus vite que d’en retirer et d’éprouver de la frustration pour des choses à demi-réalisées.

FAITES PEU MAIS FAITES-LE.

Par cette phrase je ne vous propose pas de minimiser vos efforts. Je veux dire que pour des objectifs atteints, ce sont les petits pas réalisés avec constance qui comptent. Il vaut mieux faire du sport 20 minutes par jour, qu’une heure par mois … et des exemples comme cela il y en a pleins.

voici la longue liste des 16 articles qui vont compléter celui -ci:

Comment utiliser la pratique réflexive pour améliorer son management

Vivre avec intention, c’est quoi ?

Planifier son année – PVY 157

Comment utiliser la pratique réflexive pour améliorer son management

pratique réflexive

Améliorer son management, est souvent associer à suivre des formations. Mais savez vous que vous pouvez aussi vous améliorer grâce à la pratique réflexive ?


La pratique réflexive est un outil puissant pour améliorer son management. Elle consiste à prendre du recul sur ses actions, ses décisions et ses comportements en tant que manager, et à les analyser de manière critique. La pratique réflexive permet de développer une meilleure compréhension de soi, d’identifier ses forces et ses faiblesses, et de prendre des décisions plus éclairées et alignées avec ses valeurs.

Les étapes de la méthode réflexive

Pour utiliser la pratique réflexive et améliorer son management, voici quelques étapes à suivre :

Prendre le temps de la réflexion :

Il est essentiel de dédier du temps régulier à la réflexion sur sa pratique de management. Cela peut être fait en créant des moments de solitude où l’on peut se concentrer sur ses actions, ses décisions et ses comportements. Il peut également être utile de participer à des séances de coaching ou d’avoir des discussions avec des pairs pour obtenir des perspectives différentes.

Analyser ses actions et ses décisions :

Lors de la réflexion, il est important de passer en revue ses actions et ses décisions passées. Posez-vous des questions telles que : Quels étaient mes objectifs ? Quelles étaient mes motivations ? Quelles étaient les conséquences de mes actions ? Qu’aurais-je pu faire différemment ? L’analyse de ses actions permet de prendre conscience de ses erreurs et de ses réussites, et d’apprendre de ces expériences pour s’améliorer.

Remettre en question ses croyances et ses valeurs :

La pratique réflexive offre l’opportunité de remettre en question ses croyances et ses valeurs en tant que manager. Explorez vos convictions et demandez-vous si elles sont toujours pertinentes et alignées avec vos objectifs et les besoins de votre équipe. Il est important de rester ouvert à de nouvelles idées et de remettre en question ses propres préjugés pour favoriser une gestion plus efficace et adaptée.

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Apprendre de ses erreurs et de ses succès :

La pratique réflexive permet d’apprendre de ses erreurs et de ses succès. Identifiez les leçons apprises à partir de ces expériences et réfléchissez à la manière dont vous pouvez les appliquer dans votre gestion future. Les erreurs ne doivent pas être vues comme des échecs, mais comme des opportunités d’apprentissage. Les succès, quant à eux, peuvent être utilisés comme des modèles à suivre et des sources d’inspiration pour continuer à s’améliorer.

Mettre en place des actions d’amélioration :

En utilisant les informations tirées de la réflexion, définissez des actions concrètes pour améliorer votre gestion. Cela peut inclure le développement de compétences spécifiques, l’adoption de nouvelles pratiques ou la mise en place de nouvelles stratégies. Il est important de mettre en œuvre ces actions de manière régulière et de les évaluer pour mesurer leur impact sur votre gestion.

N’oubliez pas que la pratique réflexive est un processus continu. Il est important de rester ouvert aux feedbacks et de continuer à apprendre et à s’améliorer en tant que manager. En investissant du temps et de l’énergie dans la pratique réflexive, vous serez en mesure de créer un impact positif sur votre management et sur la performance globale de votre équipe.

Les bénéfices de la pratique réflexive

La pratique réflexive en management présente plusieurs bénéfices :

Développement de la conscience de soi :

En réfléchissant sur ses actions, ses décisions et ses comportements, on développe une meilleure compréhension de soi en tant que manager. Cela inclut la prise de conscience de ses forces, de ses faiblesses et de ses biais, ce qui permet d’adapter sa gestion de manière plus efficace.

Amélioration de la prise de décision :

La pratique réflexive offre l’opportunité d’analyser ses décisions passées et d’identifier les facteurs qui ont influencé leur succès ou leur échec. En tirant des leçons de ces expériences, on devient plus apte à prendre des décisions éclairées et alignées avec ses valeurs.

Renforcement des compétences en management :

La pratique réflexive permet de repérer les domaines dans lesquels on peut se développer davantage et de mettre en place des actions concrètes pour renforcer ses compétences.

Création d’un environnement de travail positif :

En créant un cercle vertueux d’amélioration continue, on crée un environnement de travail plus positif et motivant pour son équipe. La pratique réflexive permet de favoriser l’adaptation, la croissance et l’innovation au sein de l’équipe.

Accroissement de l’efficacité du management :

En développant une meilleure compréhension de soi, en améliorant sa prise de décision et en renforçant ses compétences en gestion, on devient un manager plus efficace. La pratique réflexive permet de mieux gérer les défis, d’identifier les opportunités et d’atteindre les objectifs fixés de manière plus efficiente.

Adaptation aux défis :

La pratique réflexive est à l’origine de l’idée selon laquelle l’improvisation peut être l’approche optimale pour faire face à des défis dans le cadre du travail. En réfléchissant sur leur pratique, les professionnels peuvent développer leur capacité à improviser et à s’adapter à des situations nouvelles ou complexes.

En résumé, la pratique réflexive en management permet de développer une meilleure compréhension de soi, d’améliorer la prise de décision, de renforcer les compétences en management, de favoriser un environnement de travail positif et d’accroître l’efficacité du management. En investissant du temps et de l’énergie dans la pratique réflexive, vous pouvez créer un impact significatif sur leur propre développement et sur la performance globale de leur équipe.

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Quels outils utiliser ?

Il existe plusieurs outils que l’on peut utiliser pour la pratique réflexive en management. Voici quelques exemples :

Le journal de réflexion :

Tenir un journal dans lequel on note ses réflexions, ses observations et ses expériences en tant que manager peut être un outil puissant pour la pratique réflexive. Cela permet de prendre du recul sur ses actions et de les analyser de manière critique.

Les questionnaires d’auto-évaluation :

Utiliser des questionnaires d’auto-évaluation permet de se poser des questions ciblées sur ses compétences, ses valeurs, ses croyances et son style de gestion. Cela aide à prendre conscience de ses forces et de ses faiblesses et à identifier les domaines dans lesquels on peut se développer.

Les séances de coaching :

Le coaching peut être un moyen efficace d’explorer ses réflexions et ses préoccupations en tant que manager. Un coach peut poser des questions puissantes pour aider à approfondir la réflexion et à trouver des solutions adaptées.

Les discussions avec des pairs ou des mentors :

Échanger avec d’autres managers ou des mentors peut offrir des perspectives différentes et enrichissantes. Ces discussions permettent de confronter ses idées, de partager des expériences et d’apprendre les uns des autres.

Les communautés de pratique :

Rejoindre une communauté de managers ou de professionnels du même domaine peut favoriser la pratique réflexive. Ces communautés offrent un espace pour partager des idées, des défis et des meilleures pratiques, et pour bénéficier des expériences des autres membres.

Il est important de choisir les outils qui conviennent le mieux à ses besoins et à sa préférence personnelle. Certains managers peuvent préférer la réflexion individuelle, tandis que d’autres peuvent trouver plus utile de discuter avec d’autres personnes. L’essentiel est de trouver des méthodes qui favorisent une réflexion critique et une meilleure compréhension de soi en tant que manager.

Sources et références:

Pourquoi diversifier ses activités quand on se lance !

Diversifier ses activités

Dans cette nouvelle interview, je reçois Virginie Alibert, et nous discutons sur l’importance de diversifier ses activités quand on entreprend.

Virginie ALIBERT quinqua, épouse, maman, mamie, entrepreneure créative, j’aime la convivialité, trouver et apporter des solutions, connecter les personnes entre elles, les mettre en valeur, les faire grandir et créer  pour  y parvenir.

Forte de mon parcours de vie et professionnel, j’ai créé il y a presque 5 ans ma structure, à travers laquelle je déploie des activités complémentaires qui me ressemblent et me permettent de m’épanouir en mettant à profit mes expériences et compétences. Continuer encore et toujours d’apprendre et d’évoluer moi-même, m’anime au quotidien.


Début d’activité

Virginie Alibert est une passionnée qui trouve gratifiant d’être manager chez NEC. Elle a débuté sa carrière dans l’automobile et a toujours cherché à apprendre et évoluer. Après avoir connu des difficultés, elle s’est lancée en tant qu’entrepreneur avec plusieurs activités diverses, dont le développement de solutions naturelles, la commercialisation de parfums et cosmétiques, l’aide au développement commercial dans le secteur du chocolat, l’animation du club innovant NEC, et le coaching d’étudiants en commerce et marketing.  Il y a toujours un point commun dans ses activités : le développement commercial

Pour Virginie, cette multi-activité lui permet de s’épanouir humainement tout en apportant de nouvelles rencontres et des sources multiples financières. Elle évite ainsi la dépendance à un seul métier ou secteur pour sécuriser son activité. Par ailleurs, ses différentes activités ne sont pas déconnectées les unes des autres, mais elles sont liées et concourent à l’objectif et la vision qu’à Virginie pour son entreprise.

Malgré les idées reçues sur la nécessité de se focaliser sur un seul sujet, Virginie croit fermement que la diversité est une force qui lui permet d’avoir un rythme harmonieux entre sa vie personnelle et professionnelle. 

Ensuite, l’importance de rester fidèle à ses valeurs et de ne pas se préoccuper du regard des autres a été soulignée par Virginie.  

Communication et multi-activités

Elle a également mentionné l’erreur qu’elle avait commise en communiquant sur ses différentes activités au début de sa multi-activité. Aujourd’hui, Virgibie a choisi de communiquer sur une de ses activités et après en échange direct, elle parle de ses multi-activités, si besoin ou pas. Elle a expliqué qu’il est essentiel d’apprendre à se connaître soi-même et d’être endurant lorsqu’on crée quelque chose.  

“Et ce qui est important, je pense, avant toute chose qu’on se lance dans l’entreprenariat ou pas, c’est d’apprendre à se connaître. Et c’est le travail d’une vie, encore une fois, du quotidien. Et que toutes les épreuves sont là pour nous faire grandir. On se baisse, on ramasse et puis on se relève. On se relève avec quelque chose dans les mains.” 

L’appartenance à un réseau pour se développer

Appartenir à un réseau est important pour les chefs d’entreprise, car cela permet de partager les expériences et les difficultés avec des personnes ayant les mêmes objectifs.  

Pour Virginie, chaque entrepreneur doit trouver le réseau qui lui convient, et elle souligne l’importance des relations humaines directes dans un monde dominé par la technologie. Virginie mentionne que le réseau permet d’économiser de l’argent, de diversifier les ressources, d’obtenir des conseils et des informations, et de créer des relations professionnelles. 

Enfin, la flexibilité du réseau NEC et de la possibilité de participer aux événements en fonction de ses disponibilités est pertinente pour certains entrepreneurs.  

Virginie parle de l’importance de se former et s’informer auprès d’experts, ce qui est rendu possible par la plateforme dédiée aux membres du club NEC. 

Elle explique que cela permet de gagner du temps et d’optimiser financièrement grâce aux solutions proposées par le club NEC. Elle souligne également les avantages de la communauté NEC en termes de rencontres, diversité des membres et ressources supplémentaires.  

Le club permet d’apprendre sur des secteurs différents et d’échanger des informations avec les autres membres.  

https://youtu.be/VCng_9CT3Ww

En savoir plus sur Virginie :

Virginie recommande également une règle d’efficacité : “ce qui est fait n’est plus à faire”.  

Enfin, elle partage sa citation préférée : “Regarde ce que les gens font et pas simplement ce qu’ils disent”. 

Se connecter avec Virginie :

https://instagram.com/virginiealibert?igshid=MjEwN2IyYWYwYw==

https://www.linkedin.com/in/virginie-alibert-4873bba9

https://www.facebook.com/profile.php?id=100007075757546

14 tips pour gérer ses mails efficacement

mails

La gestion des e-mails est une compétence cruciale pour les managers qui sont souvent submergés par les e-mails et les messages instantanés comme Slack et autres applications similaires. Voici quelques bonnes pratiques et conseils pour aider les managers à désencombrer leur boîte de réception et à rester concentrés :

Quelques chiffres d’après étude étude de Statista, menée en 2017 aux USA

En moyenne, en 2015, chaque personne recevait en moyenne 121 emails par jour.


En 2022, 333 milliards de mails ont été envoyés.

  • 19 % des destinataires se précipitent sur chaque email dès son arrivée,
  • 24 % vont consulter leurs messageries plusieurs fois par jour,
  • 20% regardent quelques fois par jour,
  • 19% une seule fois par jour et
  • 19 % moins d’une fois par jour.

Par ailleurs on a souvent plusieurs boites mail à gérer, des boites personnelles, des boites professionnelles. Et comme si cela ne suffisait pas, nous avons aussi de nombreux comptes sur des applications de messageries instantanées : messenger, Whatsapp, Télégram, Slack et j’en passe. Ce qui fait que le flot d’information qui nous arrive et que nous devon straiter est énorme et surtout il provient d’une multitude d’endroits. Où est passé le temps béni où tous nous parvenait dans une boite à lettre bien physique ? Au moins c’était plus simple …. Bon j’arrête de faire la boomeuse de base ( ce que je ne suis pas puisque je suis GEN X …)

1. Désactiver les notifications :

La désactivation des notifications par e-mail peut vous aider à rester concentrés et à éviter les distractions. Même si vous ne regardez pas vos mails à chaque arrivée, une simple notification va capter votre attention de ce que vous êtes en train de faire et va donc vous déconcentrer. Donc couper les notifications vous permettra d’être plus concentrés que ce soit sur une tâche, une réunion, ou bien une discussion avec vos collaborateurs.

2. Préparer des répertoires de tri :

En amont du traitement de vos mails, vous avez besoin de préparer des répertoires dans votre client mail. Ces répertoires peuvent être :

  • A lire ( pour les newsletters par exemples)
  • A déléguer ( pour les tâches que vous devez déléguer
  • A traiter : pour les mails qui nécessitent plus de 2 minutes de traitement pour y répondre
  • Ensuite tous les répertoires dont vous allez avoir besoin pour classer / archiver les messages par dates, nom de projet s / clients, expéditeurs etc tout système qui vous convient pour retrouver facilement vos messages.

3. Appliquer la technique “One touch” :

C’est à dire que lors de la période de temps que vous avez alloué au traitement de vos emails, vous allez toucher l’email une seule fois et aussitôt décider de ce que vous allez en faire.

  • Vous lisez le 1er mail de votre liste de mails prioritaires.
  • Vous décidez ce que vous en faites Classement archivage ( dans un de vos répertoires de classement)Suppression ( corbeille)
  • Réponse immédiate si le sujet peut être traité en 2 minutes max, puis classer immédiatement le mail d’origine et la réponse dans le répertoire adéquate.
  • Délégation et vous le faites suivre immédiatement à la personne qui devra s’en occuper avec des explications. Si l’explication et la rédaction du mail sont un plus longs que 2 minutes, appliquer le point suivant.
  • Planifier du temps pour répondre car il vous faudra plus de 2 minutes. et vous mettez le mail dans le répertoire “ A traiter” ou “à déléguer” si le cas se présente.

Ainsi, votre email ne reste pas dans votre boite mail en attendant votre prochaine séance de lecture de mails. Il y a quelques temps j’avais activé une application sur ma boite mail qui me permettait de voir si mes mails étaient bien lus par les destinataires. Et cerise sur le gateau, cela me permettait aussi de voir combien de fois mes mails étaient ouverts. Et il n’était pas rare que certains mails soient ouverts plusieurs dizaines de fois.

Pourquoi cela ? si vous laissez le mail en attente dans votre boite de lecture, il y a de bonne chance que dans quelques heures vous ayez oublié le contenu du mail. donc vous l’ouvrez à nouveau et si le mail reste plusieurs jours, vous risquez de l’ouvrir plusieurs fois … quelle perte de temps !

4. Planifiez des heures spécifiques pour répondre aux e-mails :

Réserver des heures spécifiques pour y répondre peut vous aider à rester maîtres de leur boîte de réception sans la laisser diriger votre vie. Là encore le bon sens s’applique et cela dépend fortement de votre travail. Mais dans la plupart des cas, lire les mails une fois toutes les 2 heures est largement suffisant. Rappelez vous que si c’est urgent, le téléphone existe toujours.

5. Utilisez des dossiers et des étiquettes :

La création de dossiers ou d’étiquettes pour classer différents types de messages peut aider les responsables à localiser et à hiérarchiser rapidement les e-mails, réduisant ainsi le temps passé à rechercher dans une boîte de réception encombrée. E t pour les plus avant gardistes, vous pouvez aussi connecter votre boite mail avec des outils utilisant l’intelligence artificielle, et dans ce cas la nécessité de bien classer et étiqueter les mails devient moins utile.

6. Définissez des priorités et répondez de manière stratégique :

Une gestion efficace des e-mails implique de définir des priorités et de répondre stratégiquement aux e-mails, d’utiliser des filtres et de pratiquer des habitudes de pleine conscience. Cela signifie aussi de mettre des filtres, pour ne traiter en priorité que les mails dont vous êtes le seul destinataire principal ( je ne parle pas d’être en copie).

Et vous pourrez remettre à des périodes plus calme, la prise de connaissance des mails dont vous êtes en copie. Ce genre de filtre est utilisable dans quasi toutes les applications. Vous pouvez ainsi mettre dans une couleur spécifique les mails, en fonction de l’expéditeur, des destinataires, copie etc. Usez de ces options pour pré-trier votre boite mail, surtout si vous recevez plusieurs centaines de messages par jour.

7. Tâches de courrier électronique par lots :

le traitement par lots des tâches de courrier électronique peut aider les responsables à mieux se concentrer sur leur travail et à éviter l’afflux constant de messages. Et je vous invite à consulter mes articles sur le travail par batch.

8. Créer des modèles de réponses :

La rédaction de modèles standard pour les e-mails fréquemment utilisés peut faire gagner du temps aux responsables lorsqu’ils répondent aux e-mails. Vous pouvez aussi utiliser des outils comme Text Expander pour taper tout un texte avec un simple raccourci clavier pour les mails récurrents. Une fois encore, des outils boostés à l’IA vous aideront aussi à répondre rapidement à certains messages. Ne vous privez pas de ces avancées techniques.

9. Apprendre à rédiger des emails clairs :

La rédaction des emails peut faire toute la différence quand il s’agit de réduire leur nombre. En effet si vous prenez l’habitude d’exprimer des demandes complètes, avec les maximum des informations dont votre interlocuteurs pourrait avoir besoin, vous éviter des allers/ retours non productifs. Vous pouvez ainsi creer des modèles pour des sujets récurrents, ou des types de demande récurrentes.

Je me souviens avoir créé avec un de mes clients il y a quelques années, des modèles de documents pour certaines de ces demandes. Ainsi il pouvait collecter en amont tous les éléments nécessaires pour que mon équipe et moi même puissions lui apporter une réponse optimale en un minimum de temps et surtout sans longue chaine de messages. Vous pouvez aussi entrainer votre équipe à écrire aussi des mails pertinents et complets, avec les méthodes BLIND et FOCUS.

10. Se désabonner :

Se désabonner des newsletters et des e-mails promotionnels inutiles peut aider les managers à réduire le volume d’e-mails qu’ils reçoivent. Je sais que c’est parfois peine perdue et qu’on a beau se désabonner de certaines listes et ça revient encore et toujours. Mais gardez la foi, vous arriverez à réduire malgré tout la liste des messages non sollicités.

11. Déléguer :

Déléguer des e-mails aux membres de l’équipe peut aider les managers à rester maîtres de leur boîte de réception et à libérer du temps pour des tâches plus importantes. La délégation est votre alliée si vous avez une équipe, donc lors du traitement des mails, n’hésitez pas à transmettre à ceux qui peuvent traiter à votre place, en prenant soin de communiquer des consignes très claires sur ce qui est attendu et pour quand.

12. Lâcher prise :

Enfin, rappelez vous que la gestion des e-mails nécessite de s’imprégner de certaines règles et d’un peu d’expérimentation. Il n’existe pas une seule bonne façon de gérer les e-mails, et ce qui fonctionne pour quelqu’un peut ne pas fonctionner pour tout le monde. Ne vous mettez pas trop la pression pour arriver à chaque fin de journée au fameux Inbox 0. faites de votre mieux.

Rappelez vous que les mails c’est comme le puits sans fond, ou bien le bateau dont la coque est percé et qu’on tente de vider avec un petit seau.Alors on se focalise sur les priorités et pour le reste on verra. Et pour prioriser, on pourra utilise une matrice d’Eisenhower par exemple. Sous réserve d’avoir bien défini pour soi, ce que sont les sujets prioritaires et vos objectifs

13. Eduquer ses contacts :

En indiquant à vos principaux interlocuteurs comme vous fonctionnez avec les mails et en ne les habituants pas avec des réponses tardives, dans les 3 minutes ou le week end, vous éviterez de vous créer vous même la pression. Vosu avez le droit de vous déconnecter, de dormir, d’avoir une vie personnelle et de famille, sans répondre à vos mails sans arrêt.

14. Créer des règles d’utilisation des différents outils avec votre équipe :

C’est à dire que vous allez décider ensemble de quels outils vous avez besoin, et de leur usage. Par exemple les urgence absolue avec une appel téléphonique. Les choses un peu moins urgentes sur whatsapp ou similaire, le reste sur le mail et éventuellement le suivi des projets, dans des canaux spécifiques dans slack ou votre application professionnelle de messagerie instantanée.

En adoptant ces bonnes pratiques, les managers peuvent gérer leurs emails plus efficacement et améliorer leur productivité.

Références

https://www.statista.com/statistics/456500/daily-number-of-e-mails-worldwide/

Trois outils pour reprendre sa vie en main

Dans ce nouvel échanger avec Robert Stahl, nous explorons 3 outils pour reprendre notre vie en main. Toujours avec le support de son Livre ” Je re-prends ma vie en main”, que nous avions découvert dans l’épisode 213.

Superviseur et coach professionnel certifié, Robert STAHL a créé et dirigé des centres de formation et notamment plusieurs écoles d’ingénieurs au fonctionnement pédagogique innovant. Ces expériences et le fait qu’il accompagne des personnes et des équipes depuis de nombreuses années lui confèrent des savoir-faire novateurs, directement opérationnels, que ce soit dans le monde du travail ou dans le champ de l’accompagnement, du coaching et du développement personnel.

3 outils pour reprendre sa vie en main

La naissance du livre

  • Robert STAHL a visité une librairie et a été surpris de voir qu’un étage entier était consacré au développement personnel. Cela l’a inspiré à écrire un livre accessible à tous sur les problèmes courants rencontrés par les clients en coaching.

La règle des 3 P

  • Il mentionne que la première notion importante est la règle des trois P :
  • protection,
  • permission, puissance.
  • Il explique que définir les règles du jeu et créer un espace de confiance sont essentiels pour travailler efficacement avec quelqu’un ou une équipe. Ils discutent également des règles de décision, comme le consensus et l’unanimité.

« C’est quand on commence un travail avec quelqu’un ou avec une équipe, de commencer par dire quelles sont les règles du jeu qu’on va s’engager à respecter entre nous »

Des réunions efficaces

  • Robert STAHL, parle des rôles en réunion. Il mentionne que la moitié des réunions ne sont pas utiles et que l’autre moitié manque d’efficacité. Il propose de déléguer certaines tâches, telles que l’animation de la réunion, la gestion du temps et la prise de notes. Il souligne également le rôle important du “méta”, qui observe comment se déroule la réunion et peut donner des retours sur son déroulement. Enfin, il insiste sur l’utilisation de ces rôles pour permettre à chaque membre d’équipe de développer ses compétences et enrichir les talents collectifs.
  • Les réunions sont plus participatives et efficaces car chaque membre de l’équipe anime sa partie. Les prises de notes, la participation active et l’utilisation des caméras accélèrent les réunions. L’existence d’un ordre du jour est essentielle pour une réunion productive. Les managers doivent donner à leur équipe le pouvoir de décider et agir en tant que protecteurs et facilitateurs. Il est important de rêver et de se donner le temps d’y réfléchir pour atteindre son plein potentiel.
  •  Robert Stahl propose d’utiliser des rôles spécifiques lors des réunions, tels que le méta, le timekeeper et le responsable du compte rendu.
  • Les rôles permettent d’améliorer la participation et de gérer le temps de parole.
  • Il est important d’avoir un agenda pour chaque réunion.

La force du rêve

« Pour toucher le meilleur de soi, il faut déjà se donner le temps de le rêver ». de Guy Corneau

Ce n’est pas une question d’avoir des vœux sur ce que j’ai envie de réaliser dans dix ans, mais vraiment de donner de la place à son rêve.

Pour ramener le rêve à 10 ans à un plan d’actions et des choses concrètes et immédiates, Robert utilise 2 méthodes :

Oui, alors j’utilise en fait deux process, le process c’est le rêve à dix ans et moi j’utilise beaucoup les images, je décris le processus d’ailleurs dans le livre en quatrième partie et je l’ai mis volontairement en quatrième partie parce que je pense que c’est bien d’avoir fait les travaux proposés en première, deuxième et ou troisième partie avant pour un peu déminer les choses, c’est-à-dire que si on travaille déjà 70 heures par semaine, on ne va pas vraiment avoir le temps à consacrer pour le rêve à dix ans. Donc le premier processus c’est le rêve à 10 ans, donc on s’en va en 2033. Et le deuxième processus c’est le temps à l’envers, c’est-à-dire qu’on va repartir de 2033 et on va dire bon voilà, on revient en 2028. En 2028, quelles sont les choses que je peux me fixer comme ambitieuses et qui feraient qu’en 2028, ce rêve de 2033 qui paraît un peu farfelu pourrait devenir un peu plus réaliste.

Je vous invite à acquérir le livre de Robert pour commencer à l’étudier et le mettre en pratique. Il fournille d’outils petinents et simples à mettre en place.

Les liens pour retrouver Robert :

Son offre est visible sur https://bit.ly/2O6BU8I
Ses publications et suggestions de lecture sont sur https://bit.ly/2WAKdt3

Prendre en compte la ménopause au travail

ménopause eu travail

Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous avez pu constater que j’ai beaucoup communiquer ces dernières semaines sur l’importance de la prise en compte de la ménopause dans les activités professionnelles.

Ce sujet ne m’est pas apparu subitement.

Mon expérience personnelle

Je vis depuis plusieurs années en phase de périménopause, c’est à dire avant la phase de ménopause, particulièrement difficile et handicapante parfois. Cette période a exacerbé les problèmes que j’avais depuis longtemps due à une adénomyose.

Cette situation a été rendue un peu plus facile à gérer depuis la crise Covid et le télétravail massif, ainsi que par mon changement d’activité professionnelle qui me permet un peu plus de flexibilité dans mon emploi du temps. Mais ça ne fonctionne pas toujours malheureusement.

Depuis mon arrivée dans ma nouvelle région, j’ai eu la chance de rencontrer une gynécologue, jeune, (ma précédente approchait les 70 ans), car comme vous le savez peut être il y a une très forte pénurie de spécialiste dans ce domaine en France. Et donc ce médecin, m’a fait part de solutions pour m’aider.

Ainsi depuis le printemps de cette année, je vais mieux. C’est pas nickel, mais l’amélioration est certaine.

Ma réflexion et le résultat

Bref, tout cela m’a amené à une réflexion : Je galère beaucoup et j’ai la chance d’être indépendante et de pouvoir gérer cette situation. Mais que ce passerait il si j’étais salariée ? Je ne suis certainement pas la seule à galérer ? Comment ça se passe pour les autres femmes ? Comment font elles pour concilier cette situation et un poste de cadre, de managers, des déplacements, des rendez vous etc ?

Alors j’ai commencé à faire des recherches sur le sujet. Mais, je n’ai rien trouvé ou presque dans la blogosphère francophone. Et le peu que je trouvais me dirigeais toujours vers des études anglophones. C’est comme cela que je suis arrivée sur des études très intéressantes faite par le CIPD, que je connaissais déjà, mais je n’avais jamais vu leurs ressources sur le sujet.

Cet organisme très connu dans le Commonwealth, s’est lancé depuis 2019 dans des études sur la population féminine aux prises avec la transition vers la ménopause. Ils ont fait aussi un ensemble de recommendations pour améliorer le bien être des femmes au travail, ainsi qu’un guide à destination des managers, dont le but est d’expliquer ce qu’est la ménopause.

Il y a en effet une très faible connaissance de ce que c’est vraiment et ceux même parmi les femmes. Les impacts sur la vie professionnelle sont aussi appréhendés, ainsi que ce que peuvent faire les entreprises et les managers pour accompagner la population féminine.

Mais en France, il n’y a rien d’existant. J’ai trouvé une seule entreprise qui propose des formations ur ce thème. On voit parfois un petit article sur le sujet, mais très superficiel.

Et donc, j’ai décidé d’en faire un sujet à part entière dans mes modules de formations à destination des managers. D’où la communication que je fais sur le sujet depuis quelques semaines.

Je ne rencontre pas pour le moment un franc succès, mais c’est un travail de longue haleine et généralement je ne manque pas de ténacité.

Pourquoi parler de la ménopause au travail, c’est important ?

Il me semble important de prendre en compte au travail, d’une condition de santé qui touchera la moitié de la population au travail en France. Toutes les femmes y sont confrontés dans l’âge arrive. Et il y a 14,5 millions de femmes dans les entreprises en France. Et si je considère la population au delà de 50 ans, et donc la plus susceptible d’être concernée, cela représente plus de 4 millions de femmes.

Ce ne sont pas des cas isolés dont il s’agit de parler. Le groupe d’étude sur la ménopause et le vieillissement hormonal ( GENVI), estime dans une étude de 2013, que 87 % des femmes souffriront au moins d’un des symptômes de la ménopause et 21 % auront des symptômes dits graves. Hors il y a chaque année en France 500 000 femmes qui entre en ménopause.

Il y a forcément autour de vous, une femme, une collègue, un membre de votre équipe, de votre famille, qui se trouve confronté à cette transition.

On parle ici d’un processus naturel qui a des répercussions sur les femmes, sur leur santé physiques et mentales, sur leurs relations etc. On ne peut pas juste mettre un mouchoirs dessus et continuer à faire des commentaires désobligeants suite à des réactions ou comportements qui pourraient être mal interprétés.

Le CIPD a récemment refait une étude, dont les résultats sont parus début octobre 2023 et qui a donné lieu a un webinaire très intéressant. ( que je mets en lien).

L’étude de Fawcett society

Pour illustrer mon propos, je voulais aujourd’hui, reprendre les éléments d’une étude faite en 2022 par the Fawcett society, qui est un organisme caritatif qui oeuvre pour l’égalité des genres et le droit des femmes, au travail, à la maison et dans la vie public

Méthodologie de l’étude

Conception de l’enquête : L’enquête a été commandée par Finestripe Productions pour le documentaire « Davina McCall : Sex, Mind and the Menopause » et a été menée par Savanta ComRes avec le soutien de Fawcett pour la conception de l’enquête.

Taille de l’échantillon : L’enquête a porté sur 4 014 femmes britanniques âgées de 45 à 55 ans qui sont actuellement ou ont déjà connu la périménopause ou la ménopause.

Filtrage : les participants ont été filtrés en fonction de leur sexe, de leur tranche d’âge et du fait qu’ils étaient ou étaient en ménopause ou en périménopause.

Pondération des données : les données ont été pondérées pour être représentatives des femmes britanniques âgées de 45 à 55 ans par âge et par région.

Calendrier de l’enquête : L’enquête a été menée en ligne entre le 26 janvier et le 4 février 2022.

Informations Complémentaires

Groupes ethniques : L’échantillon comprenait 321 femmes noires et appartenant à des minorités (347 après pondération).

Exclusions : L’étude n’inclut pas les résultats des femmes ménopausées précocement entre 40 et 45 ans, de celles qui atteignent la ménopause avant 40 ans ou des femmes de plus de 55 ans. Il est également peu probable qu’elle inclue les expériences de ménopause des hommes trans et et les personnes non- binaires.

La ménopause et le lieu de travail par Fawcett Society

L’article de la Fawcett Society « Menopause and the Workplace » examine les défis multiformes auxquels les femmes sont confrontées pendant la ménopause, en particulier dans leur vie professionnelle. Il met en évidence un changement démographique, où les personnes de plus de 50 ans représentent près d’un tiers de la population en âge de travailler. L’article révèle qu’une femme sur dix a démissionné de son emploi en raison de symptômes de la ménopause, soulignant ainsi l’urgence d’intervenir.

L’article évalue de manière critique les responsabilités des employeurs, montrant que des mesures efficaces telles que les changements culturels, la formation et les modifications des politiques d’absence sont rarement en place.

Il suggère la mise en place de plans d’action des employeurs pour la ménopause, révélant que 81 % des femmes approuveraient de tels plans.

L’article préconise des campagnes de santé publique à l’échelle nationale, financées par le ministère de la Santé et des Affaires sociales, pour démystifier les mythes et les stigmates entourant la ménopause.

Les cadres juridiques sont explorés, plaidant pour l’activation de l’article 14 de la loi sur l’égalité de 2010 ( en Grande Bretagne) ou l’introduction d’une disposition autonome sur la ménopause. Il discute également de la possibilité de traiter les symptômes de la ménopause comme un handicap en vertu de la loi britannique, nécessitant des ajustements raisonnables sur le lieu de travail, comme des modifications du code vestimentaire.

L’article examine les expériences de groupes démographiques spécifiques comme les minorités ethniques et les femmes handicapées, plaidant en faveur de leur inclusion dans les changements politiques. Il souligne également la nécessité de parcours cliniques standardisés impliquant des consultations de soins pour les femmes ménopausées.

L’article souligne les répercussions financières de la ménopause sur les femmes : 14 % d’entre elles ont réduit leurs heures de travail et 8 % ont renoncé à postuler à des promotions. On estime que 333 000 femmes au Royaume-Uni ont quitté leur emploi en raison de la ménopause, exacerbant ainsi l’écart salarial entre hommes et femmes.

L’article fournit un ensemble complet de recommandations pour une réforme politique, y compris des plans d’action obligatoires pour les employeurs et des modifications de la loi sur l’égalité pour protéger les femmes ménopausées. Il préconise également une formation des médecins généralistes sur la ménopause et une initiative de santé publique à l’échelle nationale.

L’article approfondit l’impact de la ménopause sur la santé mentale, révélant que 69 % des femmes éprouvent des difficultés comme l’anxiété ou la dépression dues à la ménopause. Il souligne également que les symptômes de la ménopause sont plus graves chez les femmes de la classe ouvrière, 44 % d’entre elles décrivant trois symptômes ou plus comme étant « très difficiles ».

En résumé, l’article constitue un guide exhaustif pour les employeurs et les décideurs politiques, proposant des recommandations concrètes pour favoriser un environnement de travail plus inclusif et plus favorable aux femmes ménopausées.

Je suis convaincue que l’on peut faire bouger les choses en France aussi, et qu’il est du ressort de tous de pousser les entreprises à prendre en charge ce sujet, dan sle cadre de la politique de bien être au travail, la fameuse QVTC. Il est essentiel, que les CHSCT aussi se mobilise sur le sujet. En prenant en compte les retours d’expérience des entreprises qui ont mis en place des accompagnements.

Je compte sur vous, ma communauté, pour porter ma parole et me contacter si vous vouler avoir des informations sur les services que je propose sur le sujet, comme un webinaire de sensibilisation et des modules de formation en e-learning.

L’équicoaching, une autre réalité de soi

Equi coaching

Savez-vous ce qu’est l’équi-coaching ? C’est l’objet de la découverte du jour, dans cette belle interview avec Quentin Laurent. Quentin, entrepreneur depuis 2001 et pratiquant l’équi-coaching. Il explique comment il est passé du spectacle équestre à cette nouvelle discipline et décrit les avantages d’utiliser des chevaux dans le processus d’accompagnement.

Entrepreneur depuis 2001, je fonde mon propre cabinet RH, en association
avec d’autres spécialistes de l’accompagnement, où j’interviens auprès des
cadres et dirigeants sur leur carrière, leurs problématiques managériales et
leur développement personnel.

2018, ayant grandi auprès des chevaux et cavalier dans le monde du spectacle,
je complète mes prestations par une approche innovante : l’équicoaching à
destination des managers et de leurs équipes.

Une expérience de plus de vingt ans, à la découverte toujours plus fine du
fonctionnement de l’être vivant, subtile et complexe alchimie qui m’a amené à
rejoindre l’équipe de Metaphorm et Integral Motivation dont je dirige les
activités et le développement en Mayenne.


Et tout a toujours été dédié à l’accompagnement, au bilan de compétences, à la formation en communication et au management. Et voilà. Et en 2018, j’ai décidé d’insérer l’Equicoaching dans mes actions et bien m’en a pris parce que c’est un outil extraordinaire.

Quentin LAURENT explique le processus de coaching équin, où la préparation et la rencontre avec le cheval sont essentielles. Il souligne l’importance de créer une véritable connexion avec le cheval pour atteindre les objectifs fixés.

Et j’ai décidé de développer ça parce que un, c’est beaucoup plus efficace, deux, ça me permet moi de sortir de la relation classique de l’accompagnement et d’insérer un être et de travailler comme ça en triangulation, c’est beaucoup plus efficace. On peut comme ça, comment dire, accéder à différentes facettes de l’être humain. On n’est pas que dans le mental, on n’est pas que dans le verbe. Il y a du mouvement, il y a de l’énergie, il y a beaucoup d’émotions. Et comme ça, on est beaucoup plus aligné, je trouve, dans l’accompagnement quand on est hors des schémas classiques.

Quentin Laurent

Cette approche permet aux participants d’apprendre à communiquer avec quelqu’un qui fonctionne différemment d’eux, ce qui peut être appliqué dans un contexte professionnel. Les résultats du coaching équin sont souvent surprenants et aident les participants à mieux se comprendre eux-mêmes et à améliorer leur gestion en tant que leaders.

Et par rapport à l’objectif, on va choisir le moment, l’objectif et le cheval qui va convenir soit à la personne pour qu’elle soit en confrontation, soit pour qu’elle ait un effet miroir, ou alors, parce que le cheval représente souvent dans le coaching que je pratique, ce sont des problématiques managériales, des problématiques de conflit, de positionnement, donc on est dans du relationnel. Donc je vais mettre en face parfois le cheval qui va être l’avatar de la personne avec qui il y a une difficulté pour apprendre à communiquer avec quelqu’un qui fonctionne complètement différemment de nous.

Quentin Laurent

Réapprendre que la relation n’est pas innée, qu’il y a dedans aussi un protocole, qu’il y a des symboles, qu’il y a des étapes à passer, et on re-découpe tout.

Quentin Laurent

Quentin Laurent parle de l’importance de la stabilité émotionnelle et de sa rencontre avec un cheval. Il souligne également l’importance de progresser et d’avoir une vision d’avenir en tant que coach. Il explique comment il adapte ses séances avec le cheval en fonction des besoins individuels. Quentin partage ensuite des souvenirs forts qu’il a eu lors de sessions précédentes, notamment des moments chargés d’émotions avec les participants.

Les 3 questions :

Enfin, il mentionne sa devise inspirante “Sur les ailes de l’aigle pour atteindre l’étoile”.

Truc d’efficacité : Mélanger toujours plaisir et travail

Quentin recommande le livre “Perceval le Gallois” de Chrétien de Troyes, pour sa sagesse et son symbolisme.

Ce livre l’inspire dans sa vie quotidienne. ( ci dessous un extrait du film de 1978)

Les liens pour mieux connaitre Quentin : 

Site internet : www.ec-consulting-mayenne.com

Site internet :https://integral-motivation.com

Site internet :https://metaphorm.fr/lequipe/

Linkedin : https://www.linkedin.com/in/quentin-laurent-a787151a/

Facebook : https://www.facebook.com/quentin.laurent.1884

L’Analyse SWOT dans tous ses états !

Le SWOT dans tous ses états

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un outil très utile pour les managers, il s’agit de l’analyse SWOT. Elle est très utile pour analyserdes situations et prendre ensuite des actions correspondantes.


Quelle est l’utilité de l’analyse SWOT ?

L’analyse SWOT s’avère extrêmement bénéfique pour plusieurs raisons :

  • Elle peut servir d’outil d’évaluation stratégique rapide ou sommaire,
  • Elle agit comme une étape préliminaire pour préparer une analyse stratégique plus approfondie,
  • Elle aide à choisir les méthodes d’analyse les plus adaptées pour des études plus complexes,
  • Elle offre un moyen de synthétiser et de condenser les résultats obtenus grâce à des techniques plus élaborées.

Comment se présente une analyse SWOT ?

Traditionnellement, l’analyse SWOT est illustrée par une matrice 2×2 qui comporte :

  • Les Forces, situées dans le quadrant supérieur gauche,
  • Les Faiblesses, positionnées en haut à droite,
  • Les Opportunités, localisées en bas à gauche,
  • Et les Menaces, placées dans le quadrant inférieur droit.

Cette disposition n’est pas anodine, elle suit une logique que je détaillerai ultérieurement. En fin de compte, il s’agit de quatre listes simples qui regroupent des données stratégiques essentielles. La manière de les présenter relève en grande partie d’une question de préférence.

La structure

Pour bien saisir la structure de l’analyse SWOT, il est crucial de comprendre ses deux dimensions principales : interne et externe. Les Forces et les Faiblesses relèvent de la dimension interne de l’entité commerciale en question. Ces éléments sont, ou du moins devraient être, sous le contrôle direct de la direction.

Quant aux Opportunités et aux Menaces, elles appartiennent à la dimension externe. Ces facteurs échappent généralement au contrôle des managers. Pour les identifier, des outils comme l’analyse PESTEL ou le modèle des 5 Forces de Porter sont particulièrement efficaces. Nous l’aborderons dans d’autres épisodes.

Si l’on résume, l’axe vertical de l’analyse SWOT distingue les dimensions internes et externes, tandis que l’axe horizontal sépare les facteurs positifs des négatifs.

Traditionnellement, l’analyse SWOT s’aborde en commençant par les Menaces, suivies des Opportunités, puis des Faiblesses et enfin des Forces. Cette approche du “dehors vers le dedans” est généralement considérée comme plus stratégique.

Méthode

Pour identifier les Menaces, posez-vous la question : quels sont les éléments susceptibles de nuire à votre organisation et à sa capacité à atteindre ses objectifs ?

Pour les Opportunités, demandez-vous : quels sont les éléments qui pourraient bénéficier à votre organisation dans l’atteinte de ses objectifs ?

En ce qui concerne les Faiblesses, réfléchissez aux ressources ou compétences qui font défaut à votre organisation par rapport à la concurrence et qui pourraient entraver votre succès.

Enfin, pour les Forces, identifiez les atouts uniques de votre organisation qui vous donnent un avantage concurrentiel et qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs.

Il est possible d’utilise le SWOT pour une multitudes d’autres analyses, et voici quelques exemples :

https://youtu.be/CGffhYPyOJg

1. SWOT Temporel

Faites une analyse SWOT pour différentes périodes : passé, présent et futur. Cela peut vous aider à comprendre comment votre entreprise a évolué et où elle pourrait aller.

2. SWOT par Niveau Hiérarchique

Demandez à chaque niveau de management de faire sa propre analyse SWOT. Comparez ensuite les résultats pour avoir une vision globale de l’entreprise.

3. SWOT Thématique

Concentrez-vous sur un seul aspect de votre entreprise, comme la culture d’entreprise ou la satisfaction client, et faites une analyse SWOT spécifique à ce thème.

4. SWOT en Équipe

Organisez un atelier où chaque membre de l’équipe remplit une partie de la matrice SWOT. Cela favorise la collaboration et l’engagement de l’équipe.

5. SWOT “What If”

Utilisez la matrice SWOT pour simuler différents scénarios (par exemple, “que se passerait-il si un concurrent lançait un produit similaire ?”).

6. SWOT Personnel pour les Managers

En tant que manager, faites une analyse SWOT de vos propres compétences et défis. Cela peut être un excellent exercice de développement personnel.

7. SWOT en 3D

Ajoutez une troisième dimension à votre matrice SWOT : l’urgence. Cela vous aidera à prioriser les actions à entreprendre.

8. SWOT et Mind Mapping

Utilisez un mind map pour élargir chaque élément de la matrice SWOT. Cela peut aider à générer des idées plus créatives.

9. SWOT Rotatif

Faites une analyse SWOT, puis faites-la tourner à 90 degrés. Les forces deviennent des opportunités, les faiblesses deviennent des menaces, etc. Cela peut offrir une nouvelle perspective.

10. SWOT de Carrière

Utilisez la matrice pour évaluer où vous en êtes dans votre carrière, identifier les opportunités de croissance et les menaces potentielles à votre progression.

11. SWOT Relationnel / de réseau

Faites une analyse SWOT de vos relations personnelles et professionnelles pour comprendre comment elles vous affectent et comment vous pouvez les améliorer.

12. SWOT de Compétences

Identifiez vos compétences clés et évaluez-les en termes de forces, faiblesses, opportunités et menaces. Cela peut vous aider à choisir des formations ou des certifications.

13. SWOT de Santé

Évaluez votre état de santé général en utilisant la matrice SWOT. Cela peut vous aider à créer un plan de bien-être personnalisé.

14. SWOT Financier

Utilisez l’analyse SWOT pour évaluer votre situation financière et identifier des opportunités d’investissement ou des menaces comme des dettes.

15. SWOT de Temps

Analysez comment vous utilisez votre temps chaque jour. Cela peut vous aider à identifier des opportunités pour être plus efficace.

16 . SWOT de Communication

Utilisez la matrice pour évaluer vos compétences en communication. Cela peut être particulièrement utile si vous travaillez dans un rôle de leadership ou de gestion.

J’espère que ces idées vous inspireront dans votre rôle de manager et vous aideront à aborder l’analyse SWOT sous un nouvel angle !

Pour aller plus loin et si vous lisez l’anglais, je vous conseil cet excellent article de Chris Fox : https://www.stratnavapp.com/Articles/SWOT-analysis

Attention : pour ceux qui écoutent le podcast ou qui regardent via Youtube, cet épisode est une expérimentation. Si le texte a fait l’objet de beaucoup d’attention humaine, en revanche l’audio et la vidéo ont été partiellement générés par une IA. On n’arrête pas le progrès, alors je fais des tests ( assez moyennement concluants jusque là)

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