Lean et QVT, les 2 font la paire

Lean et qualité de Vie au Travail

Le lean, souvent associé à tord, à une technique pour faire ” le ménage” dans les équipes, est en fait un outil formidable pour promouvoir la Qualité de Vie au Travail (QVT).


Suivez cet échange passionnant avec Jean Philippe DOUET, coach lean passionné pour aller à la rencontre du vrai Lean et de la Qualité de Vie au Travail.

La Biographie de Jean Philippe Douet :

Je suis responsable /Coach Lean et Agile au sein d’une entité d’Adeo (adeo.com) depuis 2 ans. Trente ans de carrière dans l’IT, dont 17 dans les méthodes et qualité. J’ai été développeur et chef de projet avant de m’intéresser à la qualité en 2005. J’ai découvert le Lean en 2013, mais par le «côté obscur» de la force. Depuis, je travaille à comprendre et diffuser le Lean (et le Toyota Production System) et à aider mes collègues à trouver plus de sens dans leur travail en le pratiquant. Je suis membre de l’Institut Lean France et je m’intéresse aux neurosciences de l’apprentissage depuis 4 ans.

Jean Philippe Douet

Confrontation en 2013 avec le “faux Lean”, dont la finalité était de réduire le nombre de personnes dans les équipes.

Article” Comment découvrir un faux Lean !”

Cette approche (“le faux Lean” ) est désastreuse par les entreprises et les équipes. Dans cette mauvaise approche, on considère les salariés comme des “gaspillages” dont il faut se débarrasser.

Mais les gaspillages sont générés par l’entreprise et ses problèmes d’ organisation et non par les salariés.

Donner du sens avec le Lean et la QVT

Le “vrai” Lean à pour mission d’aider les salariés à retrouver du sens dans leur travail, leur permettre de travailler mieux et rentrer chez eux en se disant “J’ai passé une bonne journée”.

Dans toutes les entreprises, on trouve des gens qui ont envie de faire avancer les choses. Mais on leur dit depuis des années que c’est la tâche du manager qui est là pour ” penser à la place “des salariés. On a des exécutants, qui ne comprenne pas le pourquoi de ce qu’ils font.

Les 3 principes de la QVT ( Qualité de vie au travail)

1- Les Conditions de travail, d’environ­nement_on se limite souvent au baby foot et aux canapés.

2. La capacité à s’exprimer et à agir dans la vie de l’entreprise

3. Le contenu du travail : l’autono­mie et le sens. Avoir un travail apprenant et complet. Cela touche aux valeurs intrinsè­ques, qui motivent réellement les salariés au quotidien. lien ANACT.

lien vers épisode sur la médiation

On parle de QVT depuis les année 70.

De la valeur pour les clients

Un des principes du Lean, n’est pas de supprimer des postes, mais à créer de la valeur pour les clients (pas par les actionnaires en premier lieu).


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L’erreur humaine

Le lean ne cherche pas à stigmatiser les personnes, mais à identifier les problèmes.

Si une personne fait une erreur, c’est que le système de l’entreprise l’a mise en situation de générer le problème.

“C’est une erreur humaine”. ll faut creuser pour comprendre ce qui à amener à l’erreur.

Le Lean est un système d’entreprise dont la finalité est de satisfaire ses clients par une qualité irréprochable.

On y parvient en regardant comment les gens travaillent et en leur permettant de regarder comment ils travaillent.

La chasse au gaspi

La méthode a été créée chez et par Toyota après la 2nde guerre mondiale, dans un contexte de précarité de ressources. Elle a été inventé par Taiichi Ohno et la famille Toyoda. Il était important de ne rien gaspiller.

Ils décident de produire à la demande du client, c’est le flux tiré.

Oon regarde à chaque étape de la chaine de création de valeur (la chaine de fabrication) si on n’a une excellente qualité. On va aussi prêter attention aux déplacements inutiles sur le poste de travail, aux déchets générés.

Regarder les “temps rouges “du point de vue du client et de la valeur que la tâche apporte aux CLIENTS. ( ex : les services clients)

Créer un apprentissage par la résolution de problèmes

On apprend à marcher en tombant.

Avec le LEAN, on cherche à mettre en sécurité physique et psycholo­gique les équipes et ainsi pouvoir mettre en évidence leurs problèmes. Et ensuite on prend le temps de les résoudre.

Il faut résoudre le problème de l’apparition du problème, pour ne pas produire de défaut et ne pas transmettre de défaut à l’étape suivante.

La responsabilisation et l’autonomie avec le Lean

Il est nécessaire que les personnes soient en capacité d’identifier qu’il y a un défaut.

Cela va les responsabiliser les salariés et leur donner de l’autonomie sur l’autocontrôle.

Technique des “bacs rouges” par mettre de côté les erreurs et les traiter.

Le LEAN doit être mis en place à chaque niveau de l’entreprise et pas seulement au niveau du terrain.

On va pas dire aux salariés d’aller plus vite alors qu’ils ont des cailloux dans la chaussure.

Créer un management visuel qui est le reflet de leur journée. On veut rendre concret et visible l’immatériel. On fait réfléchir les salariés sur ce qui est “normal” dans unr journée de travail.

Importance du poste de travail, le 5S pour l’atelier ET les bureaux.

Il y a un lien qui se crée entre le manager et son équipe carie comprend mieux comment fonctionne l’équipe.

Ex : l’importance de la rétrospective après chaque sprint.

Comment vous assurez vous que le produit satisfait le client ?

La résolution de problèmes : comprendre pourquoi on arrive à créer une erreur, nécessite une vraie rigueur scientifique. Il faut se rendre sur place (poste de travail a ordinateur) et ne pas présumer d’une cause.

Permettre aux gens de résoudre eux même certains problèmes.

Livre ressource : “LEAN” gérer le travail comme un système de flux” de France Bergeron et Joanne Gaudet. et article de Jean Philippe

Mieux connaitre Jean Philippe Douet

Citation : “La qualité avant la vitesse”

Efficacité : écrire sur le blog et en écrivant à la main.

Son livre de chevet : “Apprendre” de Stanislas Dehaene ( lien Amazon sponsorisé)

L’orientation Solution, recadrer son problème

Dans cette nouvelle série “Coaching” je reçois Bastien Carpier, coach et formateur. Nous abordons la sujet du coaching orienté solution.


Un peu de contexte sur l’orientation solution

“Les débuts de Solution Focus datent d’une quarantaine d’années sous l’impulsion de Steve de Shazer et Insoo Kim Berg, deux psychothérapeutes américains exerçant dans un centre de santé mentale. Mais ce sont Mark McKergow et Paul Z. Jackson qui ont perçu les premiers, il y a une vingtaine d’année, la pertinence de cette façon de travailler appliquée au monde des organisations. source

Quelques idées évoquée lors de notre échange sur la méthode de l’orientation solution :

  1. Eviter de rester trop centré sur le problème et s’ouvrir aux solutions
  2. Les personnes que l’on coache sont compétentes pour trouver les solutions à leurs problèmes.
  3. Se poser des questions ouvertes autour de son problème, individuellement ou bien en groupe
  4. La méthode ne conduit pas à oublier le passé. Elle nous pousse au contraire à y entrevoir et à amplifier les signes qui conduisent vers des solutions, plutôt que de se figer dans l’analyse des problèmes.
  5. Se concentrer sur ce que l’on veut et non plus sur ce qu’on ne veut pas / plus.
  6. Mettre son énergie sur la solution et pas sur le problème.
  7. Pivoter, changer d’angle
  8. Etre attentif à ses émotions, à nos croyance sur la situation, aux biais cognitifs et toutes les petites histoires que l’on se raconte sur le problème et son issue.
  9. Ne pas hésiter à se poser des questions “ bêtes”.
  10. Reframing – recadrer le problème avec une dizaine de questions. Qui est gagnant, qui est perdant ? Quel est mon problème ? qui est impliqué ? quand se produit il ? A quelle fréquence ? qu’est ce qui m’embête le plus ? Qu’est ce qui serait pire ? Oser entrevoir de nouvelles questions, et de nouvelles réponses.

Liste de questions pour l’orientation solution

  1. Idées de questions pour s’orienter vers la solution : 
    1. Que voudriez-vous à la place de ce qui ne vous convient pas ?
    2. Quel pourrait donc être votre objectif ?
    3. Comment ce serait mieux si cet objectif était atteint ? Quels en seraient les avantages pour qui ? A quoi verrez-vous que cet objectif est atteint ?
    4. De quoi avez-vous besoin pour atteindre cet objectif ? Comment pourriez-vous vous y prendre ? Quelles autres solutions (que celles qui n’ont pas marché !) pourriez-vous imaginer ?
    5. Qui peut vous aider à atteindre cet objectif ? Qui d’autre dans votre entourage a la compétence pour atteindre ce genre d’objectifs ?
    6. Dans quelles autres situations par le passé, vous avez déjà su résoudre ce genre d’équations ?
    7. Si un sage vous donnait un conseil par rapport à cet objectif : quel serait-il ?
    8. Quel serait un premier petit pas que vous pourriez faire tout de suite pour vous mettre en mouvement dans la bonne direction ?
    9. « Et si tu pouvais faire 3 vœux de progrès, lesquels choisirais tu ? »
    10. « A quoi te sert de positif cette angoisse dont tu dis que tu aimerais te débarrasser ? »
    11. « Si tu n’avais pas de passé dans cette situation, quelles autres options cela t’ouvrirait-il ? … »
    12. « Si ce problème était une solution à un autre problème, duquel s’agirait-il ? », « Supposons que cette situation soit faite pour t’enseigner quelque chose que tu refuses d’apprendre, qu’est-ce que ce pourrait être ? »
    13. « Si tu voulais te mettre ton équipe à dos, comment t’y prendrais-tu ? »
    14. « Que dois-tu changer en toi pour accueillir cette situation géniale comme il se doit ? »
    15. « Et si on commençait par la fin, tu ne m’expliques rien du problème et tu me dis tout de suite à quelles solutions tu penses ? »
    16. « Dans 5 ans, tout est résolu, décris ce que tu vois qui a changé », « Si la situation était parfaite, à quoi ressemblerait-elle ?»
    17. « Comment as-tu déjà réussi dans ce genre de situation ? »
    18. « Quel est le Plus Petit Progrès Pertinent Possible ? »,
    19. « Quel est le plus petit changement possible immédiatement ? »
    20. « Qu’y a-t-il de commun entre ces XXX options différentes ? 
  2. Autre technique, définir une intention, avec un objectif à atteindre en début de séance. Un objectif bien posé, c’est déjà le début de la réponse.

Bastien donne un exemple surprenant, en poussant le problème dans son extrême. Que faudrait il faire pour que le problème s’aggrave ?

L’idée est de faire ” un pas de côté” et à amener les personnes à penser différemment.

La technique des chapeaux de Bono est aussi très puissante pour permettre aux articipants de voir un sujet sous des angles différents.

S’organiser avec Agilité – avec Delphine Falcoz

organiser agilité

S’organiser avec Agilité, c’est ce que fait Delphine Falcoz, formatrice et consultante en gestion de projets. Elle a décidé de ce changement suite à la formation à la gestion de projets en mode agile.


Pour cela, elle a mis en place dans sa vie quotidienne d’enrepreneur en utilisant Jira, une plateforme de gestion de projets, qui est très connue dans les entreprises.

L’utilisation des méthodes Agiles, oblige à découper les projets en “petits bouts”, que l’on va réaliser lors de sprints et ainsi constituer des briques incrémentales. delphine fait des sprints d’une semaine car cela correspond à son donctionnement.

Agile avec une stagiaire

Quand elle travaille avec une stagiaire, Delphine met en place des sprints de 15 jours avec des retrospectives et sprint review toutes les 2 semaines.

Cela permet de donner des feedbacks au fur et à mesure de la période de stage et de ne pas attendre la fin du stage pour voir des résultats. Il y a des livrables à fournir régulièrement par la stagiaire. Cela permet aussi de faire des retrospectives régulièrement et des revues de ce qui a été fait. On fait des bilans réguliers. Cela donne du concret et le sentiment d’avancer petit à petit.


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L’utilisation de Jira

Il est important de ne prendre que ce qui est utile pour soi et se l’approprier, voire de détourner certaines fonctionnalités.

Par exemple : les User stories deviennent la to do list. Les Epics deviennent les projets. Le verbe est très important pour définir les tâches de loto-do. Delphine ajouteaussi de la complexité pour gérer les tâches.

Cela force à séquencer, pour limiter au plus la complexité.

Les actions se font plus vite.

Des iterations d’une semaine. En début de semaine, Delphine fait un ” sprint planning” qui inclue la revue des actions, et la priorisation.

A la différence d’une équipe “normale” qui travaille sur un projet, Delphine peut être dérangée par des projets “imprévus”. Delphine prévoit du temps dans sa priorisation pour pouvoir les prendre en compte. Elle inclut aussi les réunions ou interventions externes par créer une charge de travail régulière, semaine après semaine.

Elle ajoute des deadlines. Delphine utilise une visualisation de type kanban (tableau visuel de l’avancée des tâches) pour suivre son avancement.

Elle apprécié la souplesse sur la priorisation. Delphine se fixe des objectifs par chaque sprint. Par exemple : “Etre à jour pour des vacances déconnectées !

Les limites :

La vélocité est gonflée artificiellement. Les tâches répétitives ne sont pas gérées en agilité et JIRA n’est pas prévu pour les tâches récurrentes. Il faut donc créer des ” artifices” pour les prendre en compte.

Les gains de l’organisation agile :

La priorisation est plus simple et elle peut mettre des limites plus facilement. Cela permet à Delphine de se mettre des objectifs plus réalistes qu’avant l’utilisation de la méthode.

La “done list” est très visible. Les mails à traiter sont affectés plus facilement dans un sprint ou dans le backlog.

Il y a dans cette organisation, certaines similitudes avec la méthode GTD que Delphine utilisait partiellement auparavant. Les revues régulières et le questionnement sur ce qui va bien ou pas, favorisent les démarches d’amélioration continue.

Voici donc l’expérience de Delphine Falcoz avec son organisation Agile, pour plus de souplesse et de réalisme dans ses journées.

Episodes qui pourraient vous intéresser sur le même sujet :

L’agilité à l’école, avec Laetitia Vangy

Des projets à l’Organisation – Delphine Falcoz – RDV #2

La Gestion de Projets à L’école avec Delphine Falcoz

retrouver Delphine sur les réseaux :

Site : www.supp-projects.com
LinkedIn : http://linkedin.com/company/supp-projects
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCDFcNWk5gk6Rnl-EqSVRhVQ

Flexibilité et Confiance – réussir le mode hybride 1

confiance et flexibilité

Abordons le travail d’aujourd’hui, dans un contexte de travail hybride. En effet, beaucoup d’entreprises ont mis en place des accords de télétraval partiels lors de la crise du covid. Et avec la crise énergétique, on entend déjà pour certaines entreprises, des consignes de renforcement pour faire des économies d’énergie, et notamment éviter de chauffer des locaux quasiment vides.

J’ai noté 2 axes qui sont importants dans le maintien de la performance de votre équipe dans ce contexte.

La flexibilité et la confiance.

La flexibilité au travail 

La flexibilité au travail, ce n’est pas seulement le fait de travailler de chez soi ou être en mode hybride suite à la mise en place d’un accord de télétravail. C’est faire en sorte que son emploi du temps fonctionne pour soi. 

Il existe une pluralité de personnalités et de façons de travailler. Les horaires de travail classiques ne sont pas adaptés pour tout le monde. En tant que managers on peut profiter des jours de travail à la maison, pour optimiser les performances et laisser ceux qui n’ont pas le même rythme de travail ( pas du matin par exemple), s’organiser afin qu’ils soient le plus efficace. Cela demande un peu de cadrage pour éviter certaines dérives, mais cela peut se révéler très efficace dans les fonctions où les horaires importent peu.



La confiance

Pourquoi est-ce important ? 

Le coût de la démotivation et du désengagement au sein des entreprises françaises serait de 98 milliards d’euros selon l’étude IBET 2018, menée par Mozart Consulting et Gallup. Cela fait réfléchir sur la nécessité d’accorder sa confiance, quitte à prendre sur soi et à réguler ses besoins de contrôle.

Qu’est-ce que la confiance ?

Livre : The Power of Trust: How Companies Build It, Lose It, Regain It, de Sandra J. Sucher et Shalene Gupta

« La confiance est notre capacité à accepter d’être vulnérable aux actions et intentions des autres »

Shalene Gupta

« La confiance existe entre deux acteurs mutuellement dépendants lorsque la relation établie procure à chacun un sentiment de sérénité lié à l’espérance que ses intérêts seront préservés par l’autre dans une situation donnée » 

La confiance est aussi un facteur important de création de sens.


Petite intermède concernant le sens, et la perte de sens. Si vous vous sentez perdu, avec un problème pour retrouver le sens de ce que vous faites, je peux vous accompagner. Je suis intervenante “La box Ikigai” et je propose un accompagnement de 10 séances pour vous permettre de trouver votre Ikigai. Cet accompagnement entre dans la catégorie du bilan de compétence et est finançable par votre CPF. Contactez-moi pour plus d’informations.


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La confiance dans les relations commerciales n’a jamais été si importante qu’aujourd’hui. Alors que la mondialisation accroît l’ampleur de nos problèmes, nous n’avons pas d’autre choix que de coopérer face à des situations telles que les crises environnementales ou sanitaires. Il en va de même à l’intérieur de l’ entreprise, où la coopération est indispensable pour faire face aux problèmes complexes et inédits que nous rencontrons.

Faire confiance, c’est se rendre vulnérable. Cette formulation peut faire peur, mais en réalité nous le faisons déjà tous les jours. 

“Le grand paradoxe de la confiance, c’est qu’elle comporte à la fois l’augmentation d’un risque et la réduction d’une incertitude.”

François Xavier Duperret – Business les Echos 30/12/2021

Le risque augmenté, c’est celui d’être trahi, déçu, vulnérable. La réduction de l’incertitude, c’est le fait que faire confiance vous fait lâcher prise sur la multiplication des garanties et la recherche de contrôle, souvent impossible en milieu incertain.

“C’est pour cette raison que vérifier et contrôler derrière ses coéquipiers pose des limites en matière de confiance : pour vous, cela annule l’effet libérateur en décalant dans le temps la nécessité de devoir vous confronter à la gestion de cette incertitude et cette complexité à moitié déléguée. Pour l’autre, c’est la désagréable impression de recevoir un message contradictoire (« je te fais confiance, mais je m’assure quand même que tu ne vas pas me décevoir »). Cela transforme la confiance en « confiance conditionnelle ». Transposez la notion de confiance au domaine de relation de couple : « Bien sûr, je te fais confiance chéri(e), par contre donne-moi ton téléphone, je vais vérifier tes SMS du mois écoulé. La confiance n’exclut pas le contrôle. Non, je ne peux pas te laisser dire que c’est un manque de confiance, tu confonds tout… » Je n’ai jamais essayé, mais j’imagine que cela ne fonctionne pas et que, pour que la confiance engendre des relations « sereines et enrichissantes », il ne peut pas y avoir de menace, de condition, de chantage, ni d’épée de Damoclès au-dessus de la tête de celui qui reçoit votre confiance. “

François Xavier Duperret – Business les Echos 30/12/2021

En tant que clients, nous avons une « confiance quotidienne » dans les produits et services que nous achetons. Nous nous attendons à ce qu’ils fonctionnent et à ce que l’entreprise tienne ses promesses et respecte la réglementation. En général, cela fonctionne assez bien.  Et il est assez rare que nous allions contrôler les promesses faites par les vendeurs, ou bien que nous menions un audit qualité auprès d’un fabriquant alimentaire pour nous assurer personnellement que les conditions d’hygiène sont satisfaites. Et pourtant cela concerne notre santé et celle de nos proches.

En tant qu’employés, nous faisons aussi confiance à notre entreprise pour nous payer, continuer de nous employer, que notre manager sera compétent et pas abusif …etc. 

Comment établir la confiance ?

La confiance se construit sur 3 éléments principaux : 

  • la bienveillance : empathie , écoute , soutien, sens du compromis;
  • l’intégrité : parole fiable, cohérence entre les actes et les discours, honnêteté, équité, décisions justes;
  • les compétences : savoir-faire, technique et relationnel, maîtrise de son sujet, pertinence.

Dans les relations commerciales elle peut se caractériser ainsi :

  • L’assurance que l’entreprise fournira le produit ou service
  • Les motivations : l’entreprise a-t-elle vos intérêts à cœur ? les vôtres, ou bien ceux des clients ou bien seulement des actionnaires ?
  • L’impact des produits dans votre vie, et dans la société (si l’entreprise produit beaucoup de déchets chimiques, vous pourriez considérer ce fait comme inacceptable)

Nous prenons en compte tous ces facteurs avant de décider d’interagir avec une entreprise. 

L’empathie entre en jeu dans la considération des motivations et des moyens de l’entreprise. Les consommateurs comprennent que l’entreprise doit dégager un bénéfice, mais l’entreprise doit aussi prendre en compte les besoins des consommateurs au-delà de ses objectifs financiers. 

Regagner la confiance 

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la confiance peut être regagnée, à l’opposé de l’idée reçue que la confiance se perd à jamais,  à condition de suivre ce processus : 

  • Présenter des excuses, et accepter la culpabilité.
  • Assumer la responsabilité
  • Résoudre le problème sur le long terme

Exemple : l’affaire Volkswagen et du dieselgate. L’entreprise a payé les dédommagements, s’est remise rapidement, et continue de vendre des voitures. 

La réaction des entreprises est souvent d’enterrer les problèmes pour ne pas paraître responsables. Les dirigeants peuvent aussi craindre qu’admettre une faute ne joue contre eux dans le cadre juridique. En réalité, des études ont montré que s’excuser limite les poursuites en justice. On fait souvent la même chose avec son équipe. On peut avoir tendance à masquer les problèmes, plutôt que de proposer des feedback constructifs qui font grandir et évitent que des situations empirent.

En interne, la confiance doit aussi être encouragée. Les dirigeants doivent être réalistes quant à ce qui peut être réalisé par les équipes, et par rapport aux comportements qu’ils encouragent. 

Exemple : Volkswagen avait mis en place un système qui pénalisait les managers rapportant de mauvaises nouvelles, ce qui a bien-sûr conduit à des rapports malhonnêtes. 

Depuis la crise sanitaire, les managers ont pris l’habitude de prendre des nouvelles de leurs équipes, ce qui construit une relation de confiance. 

Evaluer le niveau de confiance

Certaines entreprises sont spécialisées dans l’évaluation du niveau de confiance au sein des entreprises. Les managers doivent évaluer régulièrement la confiance au sein de leurs équipes et être particulièrement attentifs si certains membres de l’équipe ont des comportements borderline par rapport à l’accord d’équipe ou à l’éthique de l’entreprise.

Quant à la confiance des consommateurs, la meilleure façon de l’évaluer est de leur demander directement s’ils recommanderaient l’entreprise (NPS score).

Comment nous venons de le voir, la flexibilité et la confiance sont des atouts maîtres dans le travail et encore plus dans le monde hybride, quand nous ne sommes pas en permanence avec notre équipe.

C’est peut-être le moment de faire une petite introspection, voire de travailler avec un coach pour déterminer ce qui vous permettrait de travailler votre confiance, en vous et en vos équipiers. 

N’hésitez pas à me contacter si vous vous vous reconnaissez !

La rentrée au top, c’est possible et ça se prépare !

préparation

Ca y est ça sent la rentrée. Certaines écoles débutent dans la seconde quinzaine d’aout. On quitte la plage brulante et on reprend le chemin du bureau ou de l’école. Voici quelques idées pour vous préparer une rentrée au top !

Les fournitures scolaires.

Si possible on les achète bien avant la rentrée. De toutes façons dans les magasins, c’est un peu comme la galette des rois en Octobre, ils nous mettent les fournitures dès fin mai. Malheureusement on a rarement les listes de fournitures aussi en avance, mais on peut déjà acheter les ” incontournables”, comme les copies, quelques cahiers, les agendas, crayons, stylos etc. Et dès qu’on a sa liste, on fonce. Je recommande comme toujours de privilégier les achats en ligne, car d’une part cela vous épargne la cohue, mais aussi cela vous épargne les achats d’impulsion que nos têtes blondes nous poussent à faire. On peut ainsi canaliser en indiquant par exemple que la seule fantaisie est sur l’agenda, ou le cartable ou … à votre convenance.


L’environnement de travail

Préparer un environnement de travail pour les enfants qui peut être différent d’un enfant à l’autre. N’hésitez pas à revoir l’article “Aidez vos enfants à apprendre” où je détaillais les types d’apprentissage des enfants, qui influent sur l’organisation physique du lieu d’apprentissage à la maison, et aussi sur le moment où l’enfant sera prêt pour passer à ses devoirs.  

https://productivyou.com/aidez-enfants-apprendre/

Agenda familial

Mettre à jour l’agenda familial avec les jours de rentrée, les activités extra-scolaires et toutes les dates déjà connues, d’événements familiaux, anniversaires, vacances, déplacement professionnel si vous êtes concernés, visites chez le médecin etc. 

Baby sitters et informations

Remettre à jour les données pour la nounou ou la baby-sitter dans le classeur familial ou la feuille de consignes pour les personnes qui gardent vos enfants 

Rechercher des baby-sitters pour la rentrée, si ce n’est pas encore fait. Et là encore je vous conseille l’article : 

https://productivyou.com/sorganiser-efficacement-avec-une-baby-sitter/ 


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Les tâches

Revoir les tâches quotidiennes ou hebdomadaires de chacun en fonction de leur âge et des changements d’horaires, la charge des devoirs etc. Ils grandissent, donc vos enfants peuvent prendre plus de responsabilités, faire des tâches plus nombreuses peut être. Mais certaines années, ils ont des programmes très chargés et il faudra peut-être réduire au minimum ( comme leur chambre) et répartir le reste sur les autres membres de la famille.

Remettre à jour le centre de commande. Voir l’article de Sabine alias “Bee organisée” : https://www.beeorganisee.com/centre-de-commande/. Il faudra aussi mettre à jour le classeur familial si vous en utilisez un.

Revoir la garde-robe/chaussures et faire les achats en conséquence, ça pousse vite nos petits chérubins ! 

Planifier les repas, recommencer le batch cooking. On reprend les habitudes ! 

https://productivyou.com/batch-cooking-pvy-133/

Ne pas s’oublier et prendre des pauses, du temps pour soi.  

https://productivyou.com/7-formes-repos-vous-avez-besoin/

https://productivyou.com/garder-equilibre-maman-active/

https://productivyou.com/de-lequilibre-pvy-088/

Réajuster son agenda professionnel avec les échéances perso et inversement. Comme les Dates de réunions parents et les événements déjà connus. 

Au bureau

On peut commencer par un évènement de rentrée, comme un petit déjeuner, ou un repas avec toute l’équipe afin de se raconter les vacances et limiter ainsi les bavardages interminables pendant des semaines. L’avantage de cette année et même si ce n’est pas forcément drôle, c’est qu’assez peu de personnes devraient se plaindre du mauvais temps. 

Ne rien prévoir de trop intense les 2-3 premiers jours. Rien ne sert de partir à fond et de s’effondrer au bout de 3 jours en ayant déjà perdu tout le bénéfice des jours de repos. 

On vide sa boite mail et enregistre les actions à faire (on commence par les mails les plus récents, et pour encore plus de simplicité, en les triant par conversation)  

C’est aussi le bon moment pour se fixer des objectifs pour le dernier trimestre, et revoir son avancement par rapport à ses objectifs annuels. Pareil pour son équipe. 

Inscrire toutes les dates importantes dans l’agenda professionnel, y compris les événements personnels pour ne pas rater les dates importantes pour vos enfants et votre famille. 

Revoir sa garde-robe et pour pas opter pour une version minimaliste pour gagner du temps le matin ? De plus en plus de personnes font le choix d’un minimum de tenues professionnelles, d’autant qu’avec le télétravail qui devrait s’inscrire dans la durée, non plus à cause du Covid, mais en raison des économies énergétiques nécessaires, vous avez nettement moins besoin de vêtements. Alors ne garder que ce qui vous plait et vous va réellement et virez-moi tous les “au cas où”…jamais !

On peut aussi en profiter pour réarranger son espace de travail, au bureau et / ou à la maison. https://productivyou.com/pvy-048-espace-travail-organise-by-pauline/ 

La to do et l’organisation

Reprendre l’habitude de la to-do quotidienne réaliste. On le sait tous on est toujours plein de bonnes intentions et de courage de bon matin, mais la réalité nous rattrape vite. On ne se fixe que des objectifs atteignables, on découpe les projets en toutes petites étapes pour éviter de procrastiner. 

Remettre sur les rails son système d’organisation s’il a été un peu délaissé pendant l’été. Parfois, le fait d’avoir un agenda un peu allégé pendant l’été peut nous conduire à relâcher nos bonnes habitudes de revue hebdomadaire. C’est le moment de reprendre le flambeau mes amis ! https://productivyou.com/la-revue-du-systeme-gtd-pvy-112/ 

Belle rentrée à tous !

Vivre avec intention, c’est quoi ?

objectifs

On m’a récemment fait une réflexion sur la tagline de mon site Productiv’You, qui m’a poussé à faire cet épisode. Vivre avec intention, créez votre vie avec intention.  

Qu’est-ce que c’est en fait ? Je n’ai pas la prétention de pouvoir répondre pour vous, mais je vais tenter dans cet épisode de vous exposer ce que cela signifie par moi.  

Définition d’intention 

Déjà, l’intention c’est quoi ?  

Une définition dit “Acte, fait de se proposer un certain but”, Dictionnaire Robert.  

Larousse : “Disposition d’esprit par laquelle on se propose délibérément un but.” 

“Envie ou résolution prise par une personne, d’agir ou d’atteindre un ou des objectifs fixés à l’avance, sa décision de passer à l’action étant quasi définitive.  

J’aime bien ces 3 définitions, qui a elles 3 montrent les étapes.  

  1. Ca vient de l’esprit, d’une réflexion, qui va permettre de se donner un ou plusieurs objectifs.  
  1. Et ensuite il y a cette notion de passage à l’action. On ne reste pas à l’état de souhait, d’idées, mais il y a un vrai passage à l’action pour atteindre l’objectif. 
  1. Et si j’extrapole un peu, entre l’idée et l’objectif, il y a le plan d’actions qui est mis en œuvre, en gardant la fin, le but à l’esprit. 


2. Des objectifs  

En ce qui me concerne, cela passe par se fixer des objectifs de vie, à 5 ans, 3 ans, 1 an. Que je décline ensuite au niveau de chaque année jusqu’à une granularité quotidienne, avec l’intention d’atteindre mes objectifs intermédiaires.  

Ensuite il s’agit de créer les actions qui mèneront à l’atteinte de mes objectifs. 

et enfin de suivre le plan avec discipline, même si je ne suis pas un robot et que parfois, cela ne fonctionne pas, ou bien je ne persévère pas assez ou bien je n’applique pas la bonne stratégie. 

3. Ma responsabilité  

Mener une vie avec intention, pour moi, c’est aussi être consciente de ma propre responsabilité dans ce qui m’arrive, m’est arrivé et m’arrivera. 

Les choix que j’ai faits, déterminent les options qui s’offrent à moi ensuite. Et c’est à moi que je le dois. Je n’ai pas à blâmer des circonstances, l’état, la vie de ce que je vis.  

Et les choix que je fais et ferai doivent donc être alignés avec mes objectifs, si je veux avoir les options nécessaires ouverts quand j’en aurais besoin. 

4. Congruence avec mon organisation  

La façon dont je m’organise au quotidien doit aussi être le reflet de l’ensemble. Si j’ai un objectif de chiffre d’affaires mensuel, mais que je ne prends pas le temps de prospecter, de rencontrer des clients potentiels, parce que je suis sur Netflix toute la journée, je ne suis pas congruente avec mes intentions. J’ai donc besoin d’avoir un plan d’actions, de le suivre et d’être concentrée sur les actions. Cela ne veut pas dire que je ne peux pas prendre du temps pour me détendre. Bien au contraire, prendre du repos est essentiel. 

Mais là encore, si je décide que ce soir je vais regarder 2 épisodes sur Netflix, ce sera dans l’intention consciente de prendre du temps pour moi, en vue d’être plus efficace demain. 

Si par contre je suis devant une série, au lieu de travailler mon plan de communication, c’est là que je perds de vue mes intentions. Et je serai donc responsable de ne pas trouver assez de clients. Et ce ne sera pas la conjoncture, la crise, la faute à pas de chance. 


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5. La spontanéité  

L’intentionnalité va très loin pour moi et touche vraiment tous les domaines de ma vie. Mais encore une fois, cela ne veut pas dire que tout de ce que je fais est planifié, défini des mois à l’avance. Il y a bien sûr une part de spontanéité, mais qu’il ne faut pas confondre avec un attrait pour les distractions en tout genre, qui pourraient m’éloigner de mes objectifs. Donc avec parcimonie et mesure. Parfois ce n’est pas le chemin, le plus direct ou le plus évident qui nous amène là où l’on souhaite aller. Je prends donc le temps d’explorer des idées, de faire des détours qui vous m’aider ensuite. 

6. Apprendre  

Dans mes intentions, l’apprentissage est important. Donc j’essaie de ne jamais perdre une occasion d’apprendre, ce qui passe par exemple par écouter les gens. Parfois je veux aller trop vite et je me prive d’appren­tissages gratuits que certaines personnes proposent spontanément et qui pourraient me faire progresser. Je sais que je dois parfois me refréner pour laisser les gens parler.  

Et sinon, je consacre beaucoup de temps et d’argent à me former soit par des cours, soit par des lectures, des séminaires, des salons, des podcasts, ou encore des webinaires etc.. Mon intention est posée, et je mets tout en œuvre pour atteindre mes objectifs d’apprentissage, bien évidemment dans des domaines qui m’intér­essent. 

7. Un monde meilleur

On rit parfois quand on parle de ces starts up qui veulent faire du monde, un meilleur endroit. Et j’ai aussi ce souhait. Alors à mon niveau, j’essaie d’être une meilleure personne. Mais au-delà de l’aspect personnel il y a aussi ceux qui m’entou­rent. Et je tente autant que possible et si possible chaque jour de tendre la main autour de moi:  un sourire, un coup de main à la voisine, aider un passant égaré, un mot gentil au caissier, ce ne sont pas de grands gestes mais de petites actions qui apportent un petit bienfait immédiat à quelqu’un, connu ou inconnu. 

Et ce peut être anodin.  

  • Juste reculer sur ma place de parking de 20 cm pour permettre à un riverain d’accéder plus facilement à son garage. 
  • Mettre la poubelle sur le trottoir avec la poignée tournée vers la route pour que les éboueurs n’aient qu’un geste à faire. 
  • Ecrire un mail pour un rendez-vous en facilitant l’accès à mon agenda. 

Des petits détails certes, mais qui facilitent un tout petit peu la tâche d’autrui.  

Certes ma responsabilité est envers moi et mon développement, mais que vaut-il di cela ne se voit pas au quotidien dans les gestes de la vie de tous les jours ? C’est aussi pour cela que je lutte pour appliquer les 4 accords toltèques au quotidien, même si c’est loin d’être simple tous les jours.

8. Du long terme.  

La plupart de mes actions sont animées par la volonté d’atteindre un plan sur le long- moyen terme. Je parlais en début de cet épisode d’objectif à 3 – 5 ans. Même si mes objectifs peuvent s’affiner, se définir plus claire­ment dans la durée, ou si le timing peut être modifié en raison du contexte, je travaille pour le long terme. C’est la somme de tout ce que je fais tous les jours qui produit un résultat à terme et pas une seule action gigantesque. C’est comme un artiste ou un sportif. Ce sont des années d’entrainement, de pratique qui produisent un résultat, rien ne se passe en une nuit.  

Ainsi, il y a 7-8 ans j’ai formé l’intention de créer ma propre activité professionnelle. 

9. Des Actions concrètes

Ce n’était pas pour une mise en œuvre immédiate car mes circons­tances ne le permettaient pas. En attendant que le moment de me lancer arrive, j’ai créé ce qu’il fallait pour rendre mon projet faisable, avec intention.  

Voici quelques-unes des actions que j’ai entreprises. 

  • Définir clairement mon projet avec une coach. Je n’avais pas les moyens financiers de payer ce service, alors j’ai troqué ses services. 
  • Mettre ma situation financière à plat et m’organiser pour n’avoir aucune dette hormis mon crédit immobilier. 
  • Apprendre à vivre avec un budget très limité pour anticiper la baisse de revenus lors d’un passage à Pôle Emploi et le démarrage de l’activité. 
  • Me former dans plusieurs domaines, marketing digital, réseaux sociaux, créations de podcast, éditions de vidéos etc 
  • Créer une petite communauté. 
  • Alimenter et animer mon réseau professionnel. 
  • Economiser pour financer des formations en coaching, animation d’équipe et autres 
  • Faire de la veille technique pour trouver les bons outils pour démarrer 
  • M’entourer d’entrepreneurs 
  • Lire tout ce qui pouvait de former ou m’informer 
  • Ecouter des centaines d’heures de podcasts 
  • Et j’en passe beaucoup.  

Si bien que lorsque les planètes se sont alignées, fin 2020, j’ai saisi l’occa­sion qui se présentait à moi, et j’ai pu démarrer mon activité immédiatement. De l’extérieur, cette débauche d’activités pendant des années pouvait certainement sembler très curieux, d’autant qu’elle venait en addition d’une vie professionnelle déjà très remplie. Alors oui, j’ai fait des choix dans mes activités. J’ai dû faire des choix dans des relations amicales qui finalement n’étaient pas saines, bienveillantes et ne cadraient pas avec mes intentions. 

Et je n’ai rien perdu, bien au contraire, j’ai pu atteindre un objectif qui me tenait à cœur et je suis à présent dans la réalisation de la suite du plan : en faire une activité durable, alignée sur mes valeurs et qui me met en joie. 

10. Etre consciente de mes limites, faire avec et avancer

Dans mes intentions, et surtout dans mes plans d’actions, j’ai aussi appris à faire avec mon contexte et avec mes limites. Je ne parle pas de croyances limitantes ici, plutôt de limites physiques. Ainsi, pendant longtemps je me suis lamentée sur le fait que je ne peux plus aller aussi vite que je le souhaite et faire tout ce que je souhaite, du fait d’un certain nombre d’affections chroniques, qui m’ handicapent, me ralentissent dans mes réalisations. Même si c’est difficile à accepter j’ai dû me rendre à l’évidence, accepter une cadence moindre, limiter mes objectifs. Et cela m’a aussi conduit à accepter que les autres ont eux aussi leus contextes, leurs problèmes qui fait qu’ils ne peuvent pas toujous être au top sur tous les sujets, tous les jours.

Ce que nous faisons chaque jour est intimement relié à un contexte, à des ressources disponibles à un instant t et quoiqu’on veuille, on ne peut aller au delà. Et cela m’a aussi amener à souhaiter plus cultiver les accords Toltèques dont j’ai déjà parlé, et aussi à travailler sur mes émotions. Si je ne peux influer sur le contexte, l’environnement et les autres, je peux influer sur mes réactions, mes émotions et mes pensées.

Vous seuls êtes maitres de vos intentions et des moyens pour y parvenir. 

Discipline, Constance, bienveillance envers soi, prise de recul, capacité à se remettre en cause, persévérance, sont les qualités qui me semblent essentielles pour mener sa vie avec intention. 

Et elles sont valables que l’on décide d’aller marcher sur la lune, ou bien de se remettre au sport . Et c’est à la portée de tous, en y allant par étape et petit à petit.  

Alors, qu’attendez-vous pour définir votre intention et tout faire pour y parvenir ? 

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L’appreciative Inquiry avec Jean Pagès

appreciatie inquiry

Je reçois Jean Pagès qui va nous parler de l’Appreciative Inquiry.`via le livre ” l’Appreciative Inquiry, une révolution positive” de David Cooperrider et Diana Whitney, qu’il a traduit et dont il a écrit la préface de la traduction française.


Biographie de Jean Pagès :

Ancien élève de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (DEA « Formation à la Recherche en Sciences Sociales »), Diplômé en Psychologie et en Lettres, titulaire de The Appreciative Inquiry Certificate in Positive Business and Society Change de la Case Western Reserve University de Cleveland, Jean a occupé des fonctions de direction de centres de profit et de ressources humaine et a fondé l’Institut Français d’Appreciative Inquiry. Coach, superviseur, conférencier, auteur, Jean forme également des coachs, consultants et managers à la démarche appréciative.

Jean est également Chargé de cours dans le Master de Coaching de l’Université Paris 2.

Publications

  • Co auteur de: Agir en Coach! Les bonnes pratiques d’un coaching professionnel, Fédération Francophone de Coachs Professionnels », ESF, 2006
  • « La mise en action du sens au travail » avec J.C Barralis, in « Psychologie Positive en Environnement Professionnel », dir. Charles Martin-Krumm, éditions De Boeck, 2014 
  • L’Appreciative Inquiry – Une révolution positive, D. Cooperrider & D. Whitney, Interéditions/Dunod, préface et traduction, mai 2016
  • « L’Appreciative Inquiry » in Le guide de l’organisation apprenante, dir.B.Arnaud etC. Ejeil, Eyrolles, 2019
  • AIP Journal, WAIC 2019: Is It Possible to Create a Better World? nov.2019, Dir.
  • Coacher avec l’Appreciative Inquiry. S’appuyer sur les réussites individuelles et collectives, Eyrolles, 2007, 2014 et 2021
  • Le grand livre de l’Appreciative Inquiry, Co-auteur, Dir. J.C Barralis & S.Proust, Interéditions, 2021

Site : www.ifai-appreciative inquiry.com 

Appreciative Inquiry – Investigation exploration.

Etre curieux et apprécier. Chercher la valeur.

Exercer sa curiosité pour trouver les forces de vie chez quelqu’un ou dans un système. L’approche de l’appreciative Inquiry, se différencie des approches qui se basent sur la recherche et la résolution de problèmes.

Beaucoup de coachs et de consultats se forment pour changer leur approche.

L’origine à l’université de Cleveland, por David Copperrider et Ron Fry.

Obtenir des récits.

Comment on est bon quand on est bon ?

Développer des émotions agréables, quand on revit des moments où cela s’est bien passé et les émotions donnent envie d’aller plus loin. L’énergie du changement provient de la joie, des émotions positives liées au souvenir du succès. C’est différent des approches habituelles du changement, qui se basent plutôt sur la “souffrance”, la peine, liée à une situation, et qui génère l’énergie du changement.

Les émotions agréables stimulent l’envie de changer et la créativité ds personnes. On considère qu’il ne peut y avoir de changement sans résistance. On résiste plus à ce qui est imposé et non désirable. Mais on ne résiste pas au change­ment que l’on a décidé et qui apporte des choses positives.

On peut changer en s’appuyant sur les forces de vie des organisations.

Process de l’accompagnement en Appreciative Inquiry.

1. De quoi on va parler, de quel sujet va-t-on traiter. Un sujet attractif et qui donne envie. Souvent on se concentre sur le problème. Mais si on se focalise sur ce que la réduction d’un probleme peut induire, cela est plus attractif- Qu’est ce qui est désirable, attractif ?

2. Découvrir les forces qui concourent à ce que l’on veut. Discovery

ce qui est fait et qui va dans le sens de ce que l’on veut. Découvrir le socle positif.

3. Dream / Desir : ce qui est possible

4. Design : quelles actions on veut mettre en place.

5. Concrètement, avec qui on peut mettre en place les actions, en utilisant les pesonnes porteuses de ces idées. Déploiement.

Coacher avec l’appreciative Enquiry” Jean Pagès

Coacher avce l’appreciative Inquiry, sans partir du problème.

J’ai un problème qui provoque une frustration.

  • Quel est le désir derrière la frustration ?
  • Quelle est l’aspiration de la personne ? Aspiration pro et/ou personnelle
  • Quelle évolutionle coaché recherche-t-il sans vraiment savoir le formaliser ?

Le coaching permet de découvrir ce que l’on veut vraiment. Evoquer des difficultés et trouver les forces que l’on a mis en œuvre pour passer outre les difficultés. Etre conscient que l’on a des forces, ou une puissance personnelle, qu on ne valorise pas, et on oublie. Mais la mise en lumière de ces puissances personnelles, permet de créer un rappel, et les activer dans d’autres situations .

Notre monde VUCA, liquide, ne permet plus d’avoir des repères comme “avant” et il est donc important qu’une démarche appreciative Enquiry, puisse contribuer à modifier la societe, et de conduire des changements.

Liens avec la théorie U d’otto Scharmer.

  • Aller chercher les ressources
  • Imaginer et ressentir l’avenir.

Le travail avec l’intelligence collective est aussi une approche similaire qui prend appui sur les choses positives.

La force du collectif ne doit pas être mise de côté, dans un monde où on a tendance à se centrer beaucoup sur l’individu.

Les 3 questions habituelles :

Livre “De l’autre côté du désespoir” de André Comte-Sponville et ” Décoincidence” de François Jullien.

Citation : ” Say Yes to the Mess” Ron Fry

Truc d’efficacité : Souffler pour chasser le stress, ce qui gêne et ainsi être plus disponible.

Profil LinkedIn de Jean Pagès

Leading for Change with Kathryn Simpson

leading for change

“Leading for Change – How to Thrive during uncertain times” is the new book by Kathryn Simpson. I met Kathryn online during a webinar organised by our dear friends from B2E Consulting, at the beginning of 2021, when we were in the midst of the pandemic/lockdown etc.


Kathryn Bio :

Kathryn is a respected and successful change leadership expert, with diverse career experience in Europe and North America. She has over 25 years of consulting and line experience with leading organisations (Unilever, Mars, KPMG and GSK). Since 2007 she has been leading her own independent consulting business, primarily working within the Life Sciences sector.  By partnering with leaders at all levels within the sector, growth and sustainable success has resulted for the organisations she has worked with.  She is the author of the book “Leading for change – how to thrive during uncertain times”.

She provides each organisation with the approaches they need to meet their unique situation. Tailored approaches are used to develop a consolidated understanding of their environment and the priority challenges they face.  This provides the basis for facilitating customised workshops where leaders not only create a desired future but are ready to move forward and implement their ideas.  Working with individual leaders or teams she advises how to bring other stakeholders with them, so they achieve success together. These practical and supportive approaches create focus, accountability and collaboration across organisations and their partners. Organisations are left with an increased leadership capability and tangible business results.

A few notes about our discussion :

The book is divided into 10 chapters. They provide us with a step by step process for change management. It is an extract of best practices, a toolbox where leaders can pick exactly what they need for the situation they are facing. The book is full of examples taken from Kathryn’s experiences. You will see how the tools were used, the results, and an analysis of each situation. Many tools and methods are mentioned, and you should definitely refer to the end of book notes to know more about each of them, and discover new books, websites etc. This book is a goldmine!

Roles of a change leader

  • Communicate.
  • Act : A role model for the team
  • Reinforce, positively or negatively depending on how teams are reacting and behaving.

Strategic Planning:

Keep it Simple.

  1. Where are you going?
  2. Where are you now?
  3. How are you filling the gap?

To build the capability: Be sure that the people involved are able to follow the change.

The role of the facilitator :

  • be clear on the outcome
  • manage the process
  • develop the agenda to get the outcome
  • prepare with the stakeholders
  • collect all the information, and the needs, and consolidate to make sure that everybody is listened to.

Advice for a new change leader :

  • Why are we doing this?
  • What will be the expected outcome?
  • Where are we right now? (define it with the relevant people).
  • What is the gap?
  • What are the pain points of the current situation?
  • What will be the benefit for stakeholders and customers?

Involvement of the people

  • Focus on Why?
  • What do they feel?
  • Stay objective and focused.
  • Collect information and narrow it down.
  • Use electronic whiteboard (like MIRO, MURAL etc)

Kathryn is running a book club with her customers. It allows the team members to know more about change management and to get on the same page regarding the process BEFORE starting a change management project. They take a Self-assessment: https://kathrynsimpson.scoreapp.com/ . You can do it for yourself!

  • Favourite Book: “The Resilient Leader Field Guide” by Karon West ( only available on Amazon or Indigo in Canada so far)
  • Her Favourite Quote: “Start with Why” Simon Sinek.
  • Tips: Create an Agenda for meetings to get the most of it. Define the tasks basedon the outcome, and break them down for an effective meeting.

To connect with Kathryn Simpson :

Her website is https://kathrynsimpson.com
LinkedIn profile is https://www.linkedin.com/in/kathrynsimpson/

Le Handicap Une Richesse avec Sandra Leber Berson

handicap richesse

Le handicap peut être un richesse pour notre société et nos organisations. Encore faut-il le connaitre et le reconnaitre. C’est l’objet de mon échange avec Sandra Leber Berson.


Bio de Sandra :

Fondatrice de la SAS Hand&Com Formation, je suis formatrice, conférencière et autrice.

Diplômée de l’Ecole Supérieure des Acheteurs Professionnels (ESAP), après 18 années d’expérience évolutive aux achats et en management au sein du premier groupe coopératif français, je prends un autre cap en 2014.

Un jour, ma vie bascule, tout change, ma maladie s’invite et le handicap entre dans mon quotidien.

Après un long parcours de soins et de résilience, j’intègre en 2014 une formation auprès du Greta MPN. Je souhaite obtenir une certification de FPA (Formation Pour Adultes) et me spécialiser dans le handicap. Ma conviction profonde est que j’ai quelque chose à faire dans ce domaine et je sais pourquoi.

La certification en poche, je développe une ingénierie pédagogique pour la Sensibilisation et la Connaissance des handicaps. Je propose ce module tout d’abord au Greta passant du statut de stagiaire à celui de formatrice puis à d’autres acteurs économiques, le succès étant immédiat.

J’ajoute à mes compétences de nouvelles actions de formation en Communication Interpersonnelle et Gestion des conflits.

Au fil de mon expérience terrain depuis 7 ans, je constate que conjuguer la Sensibilisation aux Handicaps et la Communication Interpersonnelle répond à un besoin des organisations. Forte de ce constat je propose de plus en plus souvent l’alliance de ces 2 modules à mes clients. Les publics me décrivent comme formatrice atypique, créative et pro-active.

Je développe tous mes modules de formation et mes ingénieries pédagogiques. Je fais de subtils mélanges et pratique volontiers la pédagogie inversée en appliquant l’écoute, la bienveillance et l’empathie positive. 

Mon objectif est d’accompagner, faciliter, former, sensibiliser, chacun, chacune, dans l’identification des convictions et non de s’inscrire dans des certitudes initiées par des stéréotypes environnementaux.

Femme de défi, en 2019, je créée et réalise un module spécifique « Un Langage, Un Visible » pour Rendre visible les handicaps invisibles en partenariat avec un photographe professionnel.

Le livre « Une Trace, Un Visible » en est le fruit.

( livre disponible ICI )

En 2020 la Covid s’invite, j’en profite pour écrire une Conférence “Un Parcours, Un Visible pour vous emmener en voyage vers  une destination pleine de sens et de cohérence.

Mon handicap ne me définit pas, il m’enrichit.  J’en parle d’autant mieux que je le vis et le connais bien.

Soyons tous acteurs de l’inclusion, de la diversité et de l’intégration : Mon métier, ma mission, mon évidence. Mes actions contribuent aux enjeux du développement durable et s’inscrivent dans le programme des organisations en matière de responsabilité sociale.

Notre échange sur le handicap

Sandra veut changer le regard sur le handicap et notamment via des interventions : “Sensibilisation et connaissance des handicaps.”

Le handicap est abordé de façon négative et de façon très réductrice : malvoyant et “fauteuil roulant” ! Alors que c’est bien plus.

Le but de Sandra est d’éveil les consciences.

RQTH : Reconnaissance Qualité Travailleur Handicapé

Comment aborder le handicap pour en faire une richesse

Aborder le handicap : avec simplicité et réalité. Libérer la parole dans l’entreprise. Sandra utilise l’écoute empathique afin de permettre aux personnes en situation de handicap d’oser déclarer leur situation auprès de leur employeur. “80% des handicaps sont invisibles” au sens de ce qui est considéré par la reconnaissance administrative. (maladies chroniques, cancers,…) mais c’est aussi le handicap familial, le handicap sociétal qui sont à prendre en compte

Schéma “courant” : une personne tombe malade. Suite à une mauvaise prise en compte, elle est déclarée inapte et est licenciée. Dans beaucoup de cas, cela consuit à la précarité.

La prévention est indispensable et la sensibilisation de tout le personnel d’une entreprise. Trop souvent handicap = problème alors que le handicap est une richesse.

1 français sur 6 est en situation de handicap (reconnu) en France.

Son livre recommandé : Magali Dubreuil Bourguet : “Parce que pour mourir il faut être vivant” (lien Amazon rémunéré)

Sa citation : “un pas après l’autre, un jour à la fois, c’est toujours avec constance que tu iras où tu veux” Son truc d’efficacité : Toujours garder l’optimisme même dans les phases de doute.

Les liens : 

Faites de l’organisation votre alliée avec Carine V.

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Comment faire de l’organisation notre alliée, alors que beaucoup considère que s’organiser est un frein à la créativité et à leur liberté ? Mais passer ses journées en mode bille de flipper, menée par les demandes des clients, des collaborateurs, de son manager et ne rien avoir à le ” temps de faire”, est ce ça la liberté ?


C’est sur et intéressant thème que Carine V et moi nous entretenons cette semaine. Carine est spécialisée en organisation et en management. Elle accompagne les entrepreneurs à structurer leur développement avec efficacité et sérénité.

Grandes lignes de l’interview

Il y a des milliers de livres sur l’organi­sation, qui fonctionnent très bien ( pour leurs auteurs), et il est intéressant de piocher dans plusieurs méthodes pour prendre ce qui correspond à notre profil. Il est rare qu’un modèle imposé qui vient de l’extérieur puisse nous “aller” sur du long terme. Le choix de la méthode d’organisation est personnelle.

organiser son temps
Photo by Jon Tyson on Unsplash

Comment s’y prendre pour s’organiser ?

Regarder comment on fonctionne.

Comment savoir ce qui nous va comme organisation :

  • Noter ce que l’on fait. Dans le même esprit , si on souhaite faire des économies, on commence par identifier comment nous dépensons notre argent.
  • A quoi je passe mon temps ?
  • Pour noter, on utilise la technique qui nous convient : agenda, un fichier excel, un truc plus créatif. Le relevé ne nécessite que quelques minutes par jour.
  • Choisir ce qui est important et ajouter ce que l’on veut faire et surtout retirer de son agenda ce qu’on ne veut plus, les activités que l’on veut éliminer. ex : heures sur les réseaux sociaux sans utilité

Identifier ce que l’on fait, les distrac­tions et consciemment remettre ds tranches horaires pour certaines tâches que l’on absolument faire quand cela nous convient.


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Choisir consciemment.
Essayer de combiner certaines activités quand cela est possible ( exemple aller au cinéma avec ses amis) ( lire le post : les week-end productifs)
Mais cela demande un peu de planification pour “monter” les synergies et c’est pratiquement impossible de les obtenir si on fait tout à la dernière minute.
Classification des tâches, par lieu, par niveau d’énergie, niveau d’attention. ( méthode GTD)

https://youtu.be/HsBcHKbXg1c

On a tous la maitrise de notre agenda

Il est utile d’en prendre conscience et de choisir de ne plus être la victime de son propre agenda. Importance de la délégation pour les managers et d’accepter que la tâche sera faite différemment voire même mieux. Cela permet de faire une bien meilleure utilisation de son temps.
Quand on met en place une organisa­tion, il ne faut pas s’attendre à des résultats énormes en 3 jours. On teste, on identifie ce qui va bien, moins bien et on ajuste et on continue de tester pour s’améliorer à petits pas.

Adapter les outils à ses goûts (couleurs par exemple) et pas l’inverse.
Savoir se limiter dans nos priorités pour en profiter pleinement, pouvoir se concentrer sur quelques priorités que l’on va faire efficacement et rapidement avec toute notre énergie. Et après avoir célébré, on peut passer à autre chose. Reconnaître ce qu’on a fait, se féliciter avant de passer au projet suivant pour permettre d’augmenter la motivation.
Je ne dois pas m’organiser, mais je choisis de m’organiser par faire ce que j’aime.

Mieux connaitre Carine :

  • Livre : “J’ai pas les codes” de Christelle Petit Colin.
  • Citation : Saint Augustin “Avance sur ta route car elle n’existe que par ta marche”.
  • Truc : Bilan de la semaine et se poser cette question : quelles sont les nouvelles opportunités qui se sont mises sur mon chemin pour me permettre d’avancer ?

Retrouver Carine V sur les réseaux sociaux :

https://www.linkedin.com/in/carinev/
https://www.facebook.com/carineV.organizer
https://www.instagram.com/carinev.coach/

Reinventing organizations – discussion

Dans cet article nous allons parler du livre de Frédéric Laloux ” Reinventing Organizations”, publié en 2015. Frédéric Laloux est consultant, coach auprès de dirigeants d’entreprises.


Il existe 2 éditions de ce livre, une version intégrale, et une version illustrée

Le livre s’adresse aux dirigeants, managers, et employés qui ont envie de faire bouger les lignes du management et de mettre plus d’humain dans leur environnement de travail ou associatif.

Après avoir expliqué les différents types de modèles organisationnels qui se sont succédés au fil des siècles, l’auteur fait un focus sur le modèle qui est en train d’émergé et qu’il appelle le paradigme Opale.


Les modèles sont définis par des couleurs, très similaires à ce que l’on trouve dans la Spirale Dynamique.


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Les stades sont :

  • Stade Réactif – infrarouge (spirale dynamique: beige) – famille
  • Stade Magique – Magenta (spirale dynamique: violet) – village, centaine d’individus, animistes.
  • Stade Impulsif – Rouge (spirale dynamique: rouge) – Mafia, gang de rue. Petites entreprises avec un patron TRES présent.
  • Stade Conformiste – Ambre (spirale dynamique: bleu) – église catholique, armée, certaines écoles et tout ce qui porte un uniforme.
  • Stade de la réussite – Orange (spirale dynamique: orange) – entreprise capitaliste. Les plus courantes actuellement.
  • Stade Pluraliste – Vert (spirale dynamique: vert) – ONG.
  • Stade Evolutif – Opale  → type d’organisation émergent.

Pour chaque phase il explique les caractéristiques et avancées par rapport à la phase précédente.i

La phase cible, ou Opale est caractérisée par l’auto-gouvernance des structures, l’affirmation de soi et par une nature évolutive proche de l’organisme vivant.

L’autonomie, la confiance sont mises en avant dans ce mode d’organisation. L’auteur a étudié de nombreuses organisations et donne plusieurs d’exemples d’entreprises qui fonctionnent selon les principes ” Opale”, comme Buurtzorg et FAVI longtemps dirigée par Jean François Zobrist.

On retrouve dans ces deux entreprises, une forte prise en compte des humains qui constituent les équipes. Et aussi une auto organisation qui permet d’aller au delà les attentes habituelles des managers. Et enfin une prise en compte des besoins des clients ou patients et une très faible intervention de la direction ou hiérarchie.

Dans ce paradigme Opale, les organisations, comme des organismes vivants s’adaptent aux changements d’environnement, naturellement sans qu’il y ait besoin d’une étape de change management. Ce type d’organisation est aussi très adapté à la complexité croissante de notre environnement. En effet, il permet la prise en compte des connaissances, avis et conseils de ceux qui ont la connaissance. L’agrégation de toutes les connaissances et expérience permet une vue plus large et pertinente que la vision unique et partielle d’un seul décideur, loin du sujet parfois. Les décisions sont alors basées sur de nombreux éléments.

On y crée des espaces protecteurs pour permettre la libre expression de tous. La motivation intrinsèque est le moteur de cette organisation où chacun peut être lui même sans avoir à se cacher derrière le masque de sa fonction

La mise en place de ce style d’organisation doit se faire avec le leadership fort de la direction de l’entreprise, qui va fédérer les équipes à changer de modèle. On peut ensuite faire une implantation progressive par département ou service. Les pionniers pourront ensuite partager leur expérience avec le reste de l’entreprise, afin d’encourager au déploiement.

Nous avons hâte que cela se développe et chacun peut dès maintenant être l’acteur du changement.

Créer du lien dans les interactions à distance avec Matthieu Sabourin

Créer du lien dans nos interactions à distance, c’est le thème de cette interview avec Matthieu Sabourin.

J’accélère la transformation des gens en fabriquant des moments profondément humains qui leur permette de se dépasser.

A travers des séminaires de dépassement de soi

Du conseil sur les nouvelles méthodes de collaboration

Des teambuilding en VR

Matthieu intervient dans la collaboration à distance. Il travaille à l’aide du Design Thinking notamment.

Avec la crise sanitaire, utilisation de nouveaux outils par la collabora­tion à distance.

Est ce qu’on va avoir le même niveau d’intelligence collective en présentiel ou à distance ?

D’après Matthieu, en présentiel c’est mieux, cependant la distance peut permettre d’activer des choses différentes.

A distance, la hiérarchie, la timidité etc est plus” gommée” et permet d’être plus anonyme pour exprimer des idées et de faire ressortir plus de diversité pour avoir plus d’idées.

On peut mettre les gens dans de bonnes conditions pour créer du lien et de l’émotion.

Créer un cadre, un contexte, un avatar, permet de libérer les personnes, libérer la parole, plus fort qu’en présentiel.

Matthieu travaille avec MURAL et MIRO

Pour fédérer les équipes, il faut creér les conditions :

  • Quel est mon objectif ?
  • Comment je m’y prends ?

Le facteur de réussite

Etre centré sur l’être humain comme une valeur cardinale.

Si les salariés vont bien, la boite ira bien.

Le manager doit incarner la volonté de créer du lien

  • avoir de l’empathie sur les pb et les désirs de son équipe
  • L’état d’esprit est plus important que les outils
  • Prendre du budget par prévoir des événements tous ensemble.
  • Avoir un intérêt sincère envers les collaborateurs
  • Etre sincère, transparent et faire participer l’équipe à la découverte d’une nouvelle façon de s’organiser.

Si vous souhaitez découvrir les bienfaits d’un accompagnement personnalisé pour vous permettre de mener une vie intentionnelle, de travailler sur vos croyances limitantes, ou évoquer la création d’une formation sur mesure pour vos équipes ?, contactez moi par mail à contact@priscillelivenais.com ou bien réservez directement un entretien découverte gratuit de 30 minutes via le lien : https://calendly.com/priscille-livenais/30min


Les freins

Le “Command Control “de certaines personnes.

Travailler sur son besoin de contrôle.

L’augmentation de réunions, comme moyen de contrôle de managers qui ne font pas confiance à leurs équipes

Qu’auriez vous à perdre à co-créer, co-designer ?

Le métier de manager tend à se rapprocher du métier de coach pour aider l’équipe à trouver les meilleures solutions pour répondre aux besoins de leurs clients, remplir les objectifs.

C’est la mission du rôle de facilitateur.

  • Les outils digitaux pour apporter de la flexibilité. gérer le rapport au temps, on peut
  • être plus efficace sans augmenter la charge mentale. Le temps bien employé peut être plus efficace.
  • MURAL (tableau blanc digital) pour échanger des idées, des images, des vidéos etc. Matthieu forme à l’utilisation de MURAL
  • pour le travail asynchrone, Matthieu utilise des vidéos avec Loom et Vidyard
  • la communication asynchrone permet de gérer différemment le temps, mais ne doit pas supprimer les interaction en live.
https://youtu.be/G4tet6HLwGI

Utilisation de la Réalité Virtuelle qui permet une grande immersion.

VR pour collaborer et créer du lien humain.

La VR donne plus de créativité et d’intelligence collective

Son livre :” Think again” Adam Grant. Apprendre à désapprendre et Dévelop­per l’esprit critique.

Truc d’efficacité : Prendre soin de son niveau d’énergie. et faire du sport

Citation : “Do something” être dans l’action.

Se connecter avec Matthieu :

https://matthieusabourin.com/
https://www.linkedin.com/in/expert-collaboration-remote/
https://www.youtube.com/channel/UCac-enCZ3aSkz4u0HHCtEiQ/featured

10 idées pour améliorer son quotidien au bureau en 2022

L’année 2022 commence, et certains d’entre vous sont peut-être en train de chercher des bonnes résolutions pour l’année. On ne va pas en parler dans cet article.

Cependant, pour ceux qui cherchent une “résolution”, ceux qui ont envie de tester quelque chose de nouveau, je vous propose quelques idées.

Choisissez en une seule par mois et appliquez-la totalement pendant un mois afin de voir ce qu’elle vous apporte.  

Ensuite passez à une autre idée. Vous avez la possibi­lité de conserver bien évidemment l’idée du mois précédent et d’ajouter une nouvelle idée. 

Elles ne se contredisent pas et donc elles peuvent être toutes utilisées en même temps. MAIS, elles ne peuvent pas être toutes installées en même temps, surtout si vous souhai­tez qu’elles restent dans la durée. 

NON
Photo by Jon Tyson on Unsplash

Idée 1 : Dire “non” 

  • Non aux projets qui ne sont pas dans les objectifs que vous vous êtes fixés et qui ne font pas avancer vos objectifs. 
  • Non aux journées remplies de réunions sans fin, sans pause, sans moment pour du travail intense. 
  • Articles complémentaires : PVY 054 COMMENT DIRE NON ? et PVY053 DIRE “NON” – POURQUOI ?
Photo by JOYUMA on Unsplash

Idée 2 : Faire des pauses.  

Entre 2 réunions, 5 minutes pour prendre l’air, aller aux toilettes sans courir comme une folle dans l’escalier, pour prendre un café, se changer les idées. ⇒ Faire des pauses plus longues à l’heure du déjeuner, pour bouger, aller marcher etc 

Article complémentaires : Arrêtez de vous laisser tomber – Vie Intentionnelle et Trouvez le repos dont vous avez besoin.

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Idée 3 : Réduire la durée des réunions. 

On fait bien souvent en 30 min ce que l’on faisait avant en 60min.  Fixez cet objectif de réduire la durée de vos réunions 

Pour les réunions que Vous organisez faites des essais 60 min  ==> 50 min. 

30min ==> 25 min. Vous gagnez une pause. 

Pour que ce soit efficace, n’oubliez pas :  

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Idée 4 : Refusez de participer aux réunions quand il n’y a pas d’agenda clair.  

Si vous ne savez pas ce qu’on attend de vous dans une réunion, les chances sont élevées que l’or­ganisateur non plus. 

Pas d’agenda, pas de réunion  

Idée 5 : Bloquez des RDV avec vous-même 

Toutes les semaines, plusieurs fois par semaine sur  les prochaines semaines  

Pendant ces RDV, d’une durée idéale de 2h, attaquez-vous à des tâches qui demandent beaucoup d’attention, le fameux” Deep Work ! Coupez toutes vos notifications et autres alarmes, mettez un pomodoro et hop c’est parti pour une bonne séance-  

Mettez ces périodes dans votre agenda. 

Articles complémentaires : PVY 056 ORGANISATION HEBDOMADAIRE 2 – Gérer l’Agenda

Idée 6 : Réduisez la fréquence de contrôle de votre boite mail et de vos messages instantanés.  

A moins que vous ne soyez employés dans un service client dont l’outil de réclamation est le mail, rien ne justifie que vous passiez tout votre temps dessus. Si l’idée de ne vérifier vos mails que 2 à 3 fois par jour nous provoque des palpitations, Allez-y progressive­ment.  

  • 1 semaine avec 1 check de 5 minutes toutes les heures. 
  • 1 semaine avec un check toutes les heures. 
  • 1 semaine avec un check toutes les 2 heures 
  • 1 semaine avec un check toutes les 3 heures- 

Vous pouvez le faire ! 

Article complémentaire : Rédiger des mails Efficaces -PVY131

Idée 7 : Adoptez une méthode efficace par traiter vos mails.  

Utilisez les options de filtre, couleurs ou tri pour identifier les mails où : 

  • Vous êtes unique destinataire 
  • Vous êtes destinataires avec d’autres 
  • Vous êtes en copie 

Cela vous donne l’ordre de lecture. Puis :  

  • Je lis : je peux répondre en 2 minutes : je le fais 
  • Je ne peux pas répondre en 2 minutes ET je suis le seul à punir je faire : je planifie dans mon agenda quand je réponds en détail et j’informe l’expéditeur que je répondrai tel jour à telle heure. 
  • Je ne peux pas répondre en 2min ET il y a une personne dans mon équipe aussi voire plus compétente sur la demande je délègue 
  • Je lis et je n’ai rien à faire ==> archives ou corbeille.
  • Pour ce qui est en cc : j’attends d’avoir du temps, peut-être une seule fois par jour et aussitôt après lecture j’ archive ou je jette .

Idée 8 : J’arrête de faire du multitâche pendant les video conf.  

Ça ne marche pas, je ne peux pas avoir la même attention en faisant 2 tâches simultanées qui sollicitent la même zone du cerveau. 

Donc vous allez forcément louper une information. En plus, vos interlocuteurs vont s’en rendre compte et considérer que le sujet de la réunion ne vous intéresse pas (si c’est le cas, pourquoi restez là ?) Vous mettez plus de temps sur vos tâches simultanées, serez moins pertinent et risquez même de faire une boulette en raison de votre manque d’attention .

Article complémentaire : PVY EP049 STOP AU MULTI-TASKING


Idée 9 : Planifiez des mois à l’avance 

Mettez dans notre agenda tout ce qui est prévisible dans les mois prochains, RDV, anniversaire, réunion récurrentes, préparation des réunions récurrentes, Week end prolongés, vacances scolaires, déplacements etc. Ainsi vous limitez le nombre de” mauvaises surprises”, vous anticipez plus facilement la préparation de certains évènements par vous et votre équipe. 

Incluez aussi des périodes de Rdv avec vous-même (Idées)  

Article complémentaire : Planifier son année – PVY 157

Idée 10 : Définissez par chaque journée les 3 tâches/projets les plus importants. 

Idéalement, le soir avant de finir votre journée, notez ce que vous prévoyez pour le lende­main. Vous pouvez aussi définir pour chaque semaine les tâches principales par jour et vous adaptez en fonction de l’actualité chaque jour. Pas plus de 3 gros sujets par jour. Si des choses s’ajoutent, mettez-les dans un gestionnaire de tâches où elles ne seront pas perdues et où vous pourrez aller les chercher plus tard. 

Article complémentaire : PVY 055 – ORGANISATION HEBDOMADAIRE 1 – Collecter et Trier et PVY 056 ORGANISATION HEBDOMADAIRE 2 – Gérer l’Agenda

Encore une fois, testez pendant un mois et accrochez-vous. Rien ne se met en place immédiatement sans une période d’adaptation Si vous ne persistez pas suffisamment longtemps, vous ne verrez pas les avantages se mettre petits à petit en place. 

Et vous avez besoin d’un accompagnement pour mettre en place un bonne gestion de votre temps et être plus efficace, contactez moi, nous pouvons travailler ensemble.

Si vous souhaitez découvrir les bienfaits d’un accompagnement personnalisé pour vous permettre de mener une vie intentionnelle, de travailler sur vos croyances limitantes, ou évoquer la création d’une formation sur mesure pour vos équipes ?, contactez moi par mail à contact@priscillelivenais.com ou bien réservez directement un entretien découverte gratuit de 30 minutes via le lien : https://calendly.com/priscille-livenais/30min

Le pouvoir du questionnement

questionnement

Je reçois à nouveau Laurent Romagny et notre sujet est le Pouvoir du Questionnement

Définition de Question :

  • demande faire pour obtenir une information et vérifier des connaissances
  • Sujet à examiner et à discuter


Le questionnement et l’écoute doivent aller ensemble. Car si on n’écoute pas réellement, cela ne sert à rien de poser les questions

Poser des questions et être de bonne écoute est la clé pour créer beaucoup de contacts et laisser une bonne impression. “Comment se faire des amis”  de Dale Carnegie

 
Photo by Matt Walsh on Unsplash

Poser des questions est un outil exceptionnellement puissant qui permet de dégager de la valeur au sein des organisations : cela stimule l’apprentissage et l’échange d’idées, nourrit l’innovation et l’amélioration de la performance et développe l’entente et la confiance parmi les coéquipiers.

HBR

On n’apprend pas forcément à questionner dans les formations qui forment au management, contrairement à certins métiers ( journaliste, avocat, policier etc). Alors que le questionnement est essentiel dans toutes relations humaines et donc par extension dans notre posture de manager.

Cela ne sert à rien de savoir questionner, si on ne sait pas écouter. C’est essentiel dans tous les domaines de notre vie.


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La posture et le contexte

Le contexte, la posture et l’attitude sont essentiels dans le questionnement. Exemple : on accepte assez facilement de se faire “interroger” par son médecin sur des sujets sensibles. Mais on ne répondrait pas aux mêmes questions, dans un contexte différent et une personne différente. Le style de la question et l’intention qui est derrière la question, sont aussi essentiels.

La posture d’ouverture et la posture d’apprenant, sont essentielles.

L’intention dans le questionnement

L’intention est importante dans le questionnement.

Dans le monde professionnel, on doit savoir pourquoi on veut questionner et aussi éviter autant que possible, le questionnement inductif, dans le but d’amener la personne là où on veut qu’elle aille et pas nécessaire là où la discussion devrait aller.

Souvent on veut questionner pour comprendre, ce qui est déjà un premier pas. Mais l’étape suivante est de questionner et d’écouter pour apprendre.

Le silence dans le questionnement

On va tout faire pour laisser l’autre s’exprimer et lui donner la possibilité de nous apprendre quelque chose. C’est la chemin de l’inconnu parfois, qui peut nous amener vers de la nouveauté, de nouvelles solutions. Mais pour cela, il faudra savoir se taire, pour laisser l’autre s’exprimer. “Sur quoi tu te bases pour penser cela ?” Creuser une réponse, poser des questions qui vont aider à aller plus en profondeur et laisser à son interlocuteur le temps de formaliser sa pensée. Il faut laissr le temps en sience pour que la réflexion se fasse.

  • Je questionne et j’écoute pour apprendre
  • Je questionne et j’écoute pour comprendre
  • Je permets ainsi à l’autre d’apprendre par lui même, sur lui même

La source de toutes les questions est l’émerveillement, la curiosité et une capacité de ravissement.

HBR

Créer quelque chose de plus grand que la somme des parties.

Le questionnement sert beaucoup à évaluer notre interlocuteur, avec des questions dont on connait la réponse. ( à l’école, un examen)

Questionner pour aller vers l’inconnu

En posant des questions, on s’enrichit de la connaissance que notre interlocuteur a sur le sujet qu’il maitrise. Un manager ne peut pas avoir autant de connaissance que l’ensemble des personnes qui constitue sont équipe. Il doit donc questionner et écouter les avis des spécialistes de son équipe.

Lorsque l’on sort du connu, plus on élargit le champ de ses connaissances.

Le manager devrait être soucieux de questionner son équipe, pour faire émerger de nouvelles idées, trouver des solutions ensembles à des problèmes communs, pour faire participer tout le monde au maximum de ses compétences.

Technique du ” 3 avant moi”: dans le cas d’une question posée en réunion au manager d’une équipe, le manager propose à 3 personnes de son équipe de partager leurs réponses, avant de faire part de son avis. cela permet de valoriser la omptétence qui est dans l’équipe et évite que l’on s’interdise de parler après “le chef”. Le manager ne se pose pas en “sachant”, mais plutôt en sollicitant les specialistes, l’expérience collective.

En tant que manager, on doit éviter de proposer d’emblée une solution et de conclure par ” est ce que vous êtes d’accord”. C’est le meilleur moyen de se couper d’idée bien meilleures que la sienne.

Par ailleurs, quand on sollicite l’équipe, on favorise son implication, ce qui est par conséquent enrichissant pour tous. C’est valide aussi en entretien 1 à 1, au lieu d’infantiliser son collaborateur et lui apporter des réponses à tout, on va lui poser des questions qui vont lui permettre de trouver par lui même la solution à son problème. On va mettre en valeur son autonomie sur ses actions. Cela nécessite accepter le droit à l’erreur.

Conclusion de Laurent : Le pouvoir du questionnement c’est la capacité à aller découvrir l’inconnu.

Livre suggéré : ” the Humble Inquiry” de Edgard et Peter Schein.

Le pouvoir de l’Ecoute

Cette semaine, nous détaillons ce  qu’est l’écoute, les freins à une bonne écoute et le pouvoir que l’écoute peut avoir.

Ecoute Définition :

Entendre: percevoir un son à  ses oreilles.

Ecouter: s’appliquer à entendre, prêter son étention.

C’est une action. Recevoir, accepter. Demande une certaine préparation, par être prêt à réellement

Ecouter ce que l’autre a à dire.



On ne cherche pas à juger, à passer les propos dans nos propres filtres. On n’a pas à être d’accord avec les propos de l’autre.

Eviter de couloir convaincre.

« Si nous avons deux oreilles et une bouche, c’est pour écouter deux fois plus que nous parlons » William Ury
 

“Lorsque je me tais, j’ai une chance d’apprendre quelque chose” Dalaï Lama

 

Photo by Franco Antonio Giovanella on Unsplash

Se taire et taire son esprit Calmer son esprit, quelques minutes de méditation pour se mettre dans les conditions d’écoute optimale.

quand on a envie de répondre, je n’écoute plus. Quand j’ai envie d’apprendre j’écoute

Seulement 2% des gens apprennent à écouter. Félicitations si vous faites partie des 2%. Pour les autres 98% d’entre nous, nous devons réapprendre ce qui est notre droit de naissance – comment écouter afin que nous puissions avoir un impact au-delà des mots que nous entendons”

Deep Listening: Impact Beyond Words” d’ Oscar Trimboli

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S’imprégner de mots, du choix de mots, du contexte, capter la gestuelle, le non-dit que l’on va questionner pour aller chercher ce qu’il y a derrière.

Le contexte et les non-dits contribuent tous au sens. Le sens peut être créé pour la personne qui parle, la personne à l’écoute et collectivement. L’écoute au niveau du sens nous aide à donner un sens à la discussion et informe un large éventail de perspectives et de possibilités. Cela aide chaque partie à comprendre ce qui a changé dans sa façon de penser depuis le début de la conversation. Nous disons entre 125 et 175 mots par minute, mais nous pouvons écouter 400 mots par minute. Cela signifie que quelle que soit la vitesse à laquelle l’autre parle, votre esprit peut traiter trois à quatre fois plus de mots. C’est cet écart qui provoque en vous l’assoupissement et la distraction”.

“Un moyen simple d’augmenter le silence est de fermer les yeux pendant 15 secondes avant une conversation, un appel téléphonique ou rencontre”

“Lorsque vous créez un espace dans votre propre esprit, vous permettez à la conversation d’atterrir et de s’étendre sans concurrence ou jugement. L’espace que vous créez dans votre esprit à partir de seulement 15 secondes de silence va considérablement améliorer votre capacité d’écoute et d’absorption d’informations.”

Deep Listening: Impact Beyond Words” d’ Oscar Trimboli

Se comprendre et s’entendre. On ne peut pas comprendre à 100% l’autre, mais l’écoute va nous aider à nous approcher au plus près. Ted de Celeste Hadley ” 10 ways to have a better conversation.”

Le non verbal se “calle” de lui même si on est réellement intéressé par notre interlocuteur, notre sujet.

Faire de chaque échange un enrichisse­ment mutuel.

Les mauvaises habitudes qui freinent l’écoute.

Gérard Egan : A framework for effective hearing
 
Les mauvaises habitudes :
  1. les préconceptions, attentes et biais. Cela crée des barrières. 
  2. Plus intéressé par avoir raison que d’écouter. On peut apprendre de tout le monde. 
  3. Écouter pour répondre et pas pour apprendre
  4. On trouve le communicant attirant ou pas
  5. Un esprit fermé
  6. Des distractions externes comme les notifications

Si on est disponible pour son téléphone, on n’est pas disponible pour l’autre.

Avoir conscience de sa propre disponibilité ou pas, dans la conversation.

Ne pas hésiter à reporter une réunion et une entrevue, quand on est conscient de ne pas être en mesure d’écouter l’autre.

Rien à conquérir et rien à défendre. même si notre interlocuteur n’est pas de notre avis, ce n’est pas un problème.

Ne pas arriver en” sachant” ( posture haute)

Ne pas chercher à” résoudre”, et si on n’est pas sûr de l’attente de l’autre, ne pas hésiter à demander, à clarifier l’attente de son interlocuteur.

Les gens veulent être entendus, veulent vraiment être entendu, Et bien souvent cela suffit.

Savoir juste écouter, c’est déjà énorme

Photo by Jon Tyson on Unsplash

Ted de William Ury. Etre dans l’ère de l’écoute !

Prendre le temps pour quelqu’un, pour réellement l’écouter. C’est un cadeau, car on lui montre un réel intérêt.


https://youtu.be/5eLLGr6onZw

Si on veut être entendu, il faut aussi choisir le bon moment. Exemple en couple.

En résumé, les pouvoirs de l’écoute :

  • permettre à l’autre d’exprimer des choses non prévues
  • apprendre par soi et l’autre
  • comprendre
  • être pertinent dans les questions/réponses
  • apaiser
  • Se connecter à l’autre ” Je suis ici avec toi”

La hiérarchie aide ou contrainte ?

hiérarchie

Cette semaine, nus inaugurons une nouvelle formule, pour le podcast. Une fois par mois, je vous proposerai un épisode co-animé avec Laurent Romagny, que vous avez pu déjà découvrir dans un épisode sur les KPI et un autre sur l’implication des équipes. Dans cette nouvelle formule, il ne s’agit pas d’une interview mais d’un échange d’expériences, de points de vues autour d’une thématique.


Cette semaine nous vous parlons de la hiérarchie, aide ou contrainte ?

Qu’est ce qu’apporte la hierarchie?

  • un statut avec la peur de le perdre?
  • du pouvoir ?

Evolution de la hiérarchie en fonction de l’évolution des sociétés. Lien avec la spirale dynamique

Mais quel pouvoir ?

  • Le punir de récompenser
  • le pouvoir de punir

On voit d’autres formes d’or­ganisations apparaitre ( sociocratie, holacratie, entreprises libérées…). Pas de hiérarchie, ne veut pas dire pas d’organisation.

Hiérarchie, organisation, pouvoir, fusionnent à un certain point dans les nouveaux modes d’organisation des entreprises. On a des groupes de décision, sur des sujets différents, en fonction des besoins, des compétences etc

Délégation /Responsabilisation.

  • le manager offre la possibilité et incite l’équipe à prendre des responsabilités et à devenir plus créative, plus impliquée.
  • ll y a différents niveaux de délégations. Les nouvelles organisations ont aussi un mode de diffusion de l’information adapté, afin de permettre à tous ceux qui ont des décisions à prendre d’avoir les éléments nécessaires.

L’évolution des sociétés et des organisations ne se fait pas linéairement. Il faut parfois revenir un peu en arrière, par peur de ce qui est devant, et ensuite avancer vers la nouveauté et ” l’inconnu”

Episode en video

Le dieu KPI avec Laurent Romagny

KPI

Les KPI ( ou Key Performance Indicators) ont tendance à faire la pluie et le beau temps dans les entreprises et organisations. Avec Laurent Romagny, coach et consultant, on décortique la bête et surtout on creuse pour trouver des alternatives, ou des façons plus efficaces de les utiliser.


Dans certaines entreprises, on constate qu’on se sait pas toujours ce qu’il y a “dans” le KPI, comment il a été créé, dans quel but, avec quelles données. ce que l’on sait c’est qu’il doit être “vert”.

Un KI est composé de plein de ” données” : Donnée qualitative, données brutes, modélisées, mise à jour ( ou pas) etc… La data science est souvent utilisée sans conscience de ce qu’on veut faire. Et il n’y a plus de lien entre le KPI et ce qu’on veut mesurer.

En quelque sorte, les voies du KPI sont impénétrables !

Ce qui va à l’encontre de la bonne gestion d’une équipe :

“La confiance n’évite pas le contrôle” et ” la Confiance ça se gagne”


Soutenez Productiv’ You sur Tipeee

A quoi ça sert un KPI ?

C’est devenu une preuve de valeur ou de non valeur d’un individu ou d’une équipe.

Le KPI sert à contrôler parce qu’il n’y a pas de confiance. ce devrait etre un outil de travail pour les éqyipes et les organisations pour grandir et s’améliorer.

On prend la pression du niveau supérieur, parce qu’on veut bien la prendre. Ce n’est donc pas une raison valable pour la transmettre à son équipe.

La confiance dans l’équipe

Un manager très controlant, est souvent un manager qui n’a pas confiance en lui. Certains managers ont peur, ce qui génère leur comportement de ” control freak”.

Il faut pouvoir développer la confiance en soi pour faire confiance.


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Implication de l’équipe

On a une vraie équipe qui travaille ensemble, collabore ensemble, quand on implique les membres qui la constitue. MAis le préalable est d’avoir établi la confiance.

Tirer le meilleur de son équipe, c’est le rôle du manager. Cela va permettre de définir avec l’équipe ce que l’on veut suivre. Et ainsi de créer avec l’équipe des indicateurs qui ont du sens et qui permette à l’équipe de progresser et de grandir.

Et pour cela on part des basiques avec le fameux QQOQCCP d’Aristote.( faussement attribué à Quinquilien)

https://youtu.be/UjJQG8smEY8

Intégrer la vision de chacun

La contribution de chacun est pertinente et chacun a sa propre vision du monde et elle est aussi vraie que la mienne.

Paul Watzlawick “La réalité de la réalité” , de l’école de Palo Alto. Chacun pense qu’il n’y a qu’une seule réalité, la sienne, alors qu’il y en a autant qu’il y a de personnes.

L’implication des équipes sous entend que l’on a établi la confiance. L’implication ne nécessite pas d’acier des KPI. On a une équipe, des gens qui travaillent ensemble_

Pour résumer , on peut gérer mieux qu’avec uniquement des KPI, en :

  1. ayant confiance en soi et dans son équipe
  2. travaillant l’implication des équipes
  3. intégrant la vision de chacun

Retrouvez Laurent Romagny sur LinkedIn

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La qualité relationnelle

relationnelle

La qualité relationnelle est au coeur de beaucoup de discussions actuelles. Dans cette discussion avec Marie Aude Lagache, on explore la qualité relationnelle au service des équipes commerciales et des clients.


Durant mes quinze ans d’expérience en tant que salariée, j’ai constaté un bon nombre de problèmes de cohésion et de communication au sein de plusieurs entreprises. La médiation professionnelle s’est ainsi imposée comme une évidence dans la suite de ma carrière commerciale afin d’aider à fluidifier les relations interpersonnelles.

Une expertise axée sur la Relation

Diplômée de l’Ecole professionnelle de la Médiation et de la Négociation (EPMN), ma formation a été une inspiration en termes d’ouverture d’esprit et de respect de l’humain. Le médiateur est avant tout neutre et impartial pour travailler de façon objective sur des problématiques où les émotions prennent souvent le dessus.

Mon engagement en tant qu’experte en qualité relationnelle et en efficacité commerciale

Aujourd’hui, ma mission en tant que consultant formateur, est d’apporter mon expertise au même titre que mon expérience au service des équipes commerciales. 

J’accompagne les individus à développer leurs compétences commerciales et relationnelles afin d’interagir plus efficacement avec leur environnement professionnel : collègues et clients, pour performer dans leurs objectifs individuels et collectifs.

Les échanges interpersonnels efficaces sont un des éléments d’un travail en équipe performant et productif. Cela a aussi un impact sur la satisfaction client en créant un partenariat gagnant-gagnant.

Associer les compétences commerciales et relationnelles est, à mon sens, une synergie performante pour une équipe commerciale.

Marie Aude Lagache

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Le but de la qualité relationnelle est de créer une relation de confiance avec ses clients Gagnant / gagnant en utilisant la médiation en prévention.

En alliant objectifs et vision, on va aider les commer­ciaux à avoir un fil conducteur. Les objectifs font l’objet d’une Co-construction avec les équipes commerciales.

Les principes

  • ne pas penser à la place de l’autre
  • on ne juge pas.
  • Dire / Montrer / Impliquer
  • s’appuyer sur les forces de chacun.

Il doit y avoir une exemplarité du Dirigeant, qui va transmettre à son Equipe. Et à son tour l’équipe va utiliser la même démarche avec les clients.


Le groupe Mastermind ré-ouvre ses portes prochainement . Informations et inscriptions ici


Encadrer une équipe à distance ou en mode hybride

Les points essentiels :

  • Ecoute
  • point régulier,
  • garder le lien (1-2-1 …)
  • réunions collectives régulières
  • Rester factuel
  • Utiliser “Je” plutôt que “Tu”.
  • L’implication améliore la communication

Garder toujours à l’esprit que L’autre est différent de soi.

https://youtu.be/NT3ycKy3fAE

Basique de la relation client

  • Ne pas forcer le client
  • Ecouter le client,
  • Ecoute active, vendre ce dont il a besoin et ne pas hésiter à diriger vers un service / confrère qui aura une offre plus pertinente.

Mieux connaitre Marie-Aude Lagache :

Livre : “Les 4 accords toltèques “Don Rui.

Citation : “Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends” N. Mandela. *

Astuces : une info à faire passer, sous 3 formes : Dire /Montrer/ Impliquer.

Retrouver Marie Aude :
Sur LinkedIn

Son site : Cabinet Lagache

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